dimanche 31 mars 2013

S'il y a plus d'un âne qui s'appelle Martin, y a-t-il plus d'un agneau qui s'appelle Pascal ??

samedi 30 mars 2013

DEMAIN                                    IL                                    FAUDRA




BOIRE                                      LE                                     CALICE




JUSQU'                                    À L'                                  HALLALI

vendredi 29 mars 2013

Sachant qu'il est écrit "tue-mouches" sur le cylindre en carton qui sert de récipient et de lest pour le papier du même nom, peut-on dire que l'on n’attrape que des mouches analphabètes ?

jeudi 28 mars 2013


mystic cat in a material world, 2009

mercredi 27 mars 2013

Il arrive qu'en séchant, les linges mouillent les cordes

NDLR : Belle contrepèterie [ double ] qui peut être requalifiée en histoire courte

mardi 26 mars 2013





































Elton John préparant son coming out, 1973

lundi 25 mars 2013

FRAGMENTS D'UN MANIFESTE CANIN (18)

Parmi mes proches, Bedwho est le seul qui n'a pas abandonné l'idée de parfaire mon intégration à la société civile des humains. Les autres, soit me prennent pour un humain de souche, soit me considèrent depuis tout ce temps comme un humain à lointaines racines canines et non comme un chien parlant, ou alors ont oublié ces pinaillages et autres arguties de comptoir. Mais pas Bedwho. Sa culture de la gagne et du militantisme, voire du prosélytisme quand il s'agit de foi ou de spiritualité, fait qu'il me prend régu- lièrement entre quatre z'yeux - une méthode brevetée ZYX - pour tester ma motivation et mesurer mes progrès. Dans cet esprit, il a mis au point un interrogatoire scénarisé sur le modèle de la fameuse scène de Full Metal Jacket. À l'origine, c'était pour me faire plaisir, eu égard à l'admiration sans borne que je voue à Stanley Kubrick. Jusqu'au jour où je lui avouai que FMJ était le seul film de SK que je n'aimais pas. Je me souviens de sa réaction à cette confidence tardive. « Bon sang, si tu ne dis pas les choses, surtout à moi, pourquoi te plaindre ? » Je ne me plains pas... « Owen, ta langue ne se plaint pas, mais ton œil si. C'est le regard qui est le vecteur » Je sais... « Donc ces séances t'ont nui, et non aidé ? » Si, elles m'ont aidé... « Tu es sûr ? » Oui... « Oui qui ? » Oui Bed... « Alors on continue ? » Oui Bed... « Pense et choisis » Oui Bed... « Bed qui ? » Bedwho...

dimanche 24 mars 2013

JE NE VOUDRAIS JAMAIS FAIRE PARTIE D'UN CLUB QUI M'ACCEPTERAIT POUR MEMBRE  [ GROUCHO MARX ]

samedi 23 mars 2013

 ÉQUARRISSAGE 





































 réf. CV 30 - Cosy Vichy 30 m

vendredi 22 mars 2013



Actrice pas piquée des vers, 1972

jeudi 21 mars 2013


le monument au moineau inconnu, 2008

mercredi 20 mars 2013

Franchement, quand le rideau est tombé, on avait l'impression que ça allait enfin commencer...                                                                                    [ Le masque et la plume ]

mardi 19 mars 2013

HER           HAIR           IS           HARLOW           GOLD

                      HER            LIPS          SWEET          SUR          PRISE

                                           HER          HANDS          ARE          NEVER          COLD

                                                                SHE'S          GOT          BETTE          DAVIS          EYES

Bette+Davis+Eyes/3AV0sI?src=5

                                                              SHE'LL          TURN          THE          MUSIC          ON YOU

                                         YOU          WON'T          HAVE         TO THINK          TWICE

                    SHE'S           PURE           AS           NEW YORK          SNOW

SHE'S            GOT            BETTE            DAVIS            EYES

lundi 18 mars 2013

FRAGMENTS D'UN MANIFESTE CANIN (17)

Bedwho ne rate jamais une occasion d'entamer une conversation. Il n'affectionne rien plus que le débat d'idée, le grand barattage dialectique duquel il pense qu'une des sept filles de la Mère Vérité va sortir, livrée à nos regards avides, un peu plus dévêtue à chaque fois. Je parle là de son espoir. Pour ma part, je sais bien que jamais aucune de ces pimbêches ne se dévoilera et j'ai abandonné depuis longtemps l'idée d'en voir ne serait-ce qu'un bout de mollet ou de creux poplité. L'autre jour, Bed tournait autour du pot. Le pape François, Michel-Ange et la création du monde, la sweet chapelle sixteen, etc. « Indique-moi juste ce qui te jette ainsi dans les bras de Jésus » lui dis-je sans réfléchir. À peine avais-je pris conscience de mon erreur qu'il saisit cette perche si naïvement tendue : « L'amour » lâcha-t-il à brûle-pourpoint. « Arrête avec ça, s'il te plaît » ironisai-je. « L'amour, donc le pardon » « Pardon ? » « Owen, la clé de voûte, le génie du christianisme, c'est le pardon. Aimer, c'est pardonner. Pas de colonne moins ni de colonne plus, un enfant de Jésus ne tient pas de comptabilité. L'amour est le filtre, le pardon est le livre »... « And I feel just like Jesus dog, and I guess that I just don't know... and I guess that I just don't know... » J'avais beau faire le malin avec mon couplet velvetien, il m'avait cueilli. Comme c'est l'une des personnes vivantes qui me connaît le mieux, il vit tout de suite qu'il avait fait mouche avec son pardon et ne poussa pas son avantage,se contentant d'un petit sourire complice. Je me tus, comme d'habitude. Cette fois, j'eus raison.

dimanche 17 mars 2013

Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ? Tout ce que je fais, est-ce que ça sert à quelque chose ? Tout ce que je ne fais pas, pourquoi ne pas le faire ?

32 points d'interrogation dans litanie anthracite, 2013

samedi 16 mars 2013


































La vérité mise à nu par ses vierges femen, 2013

vendredi 15 mars 2013

Q 9 : La plante, l'arbre ou l'animal dans lequel vous aimeriez être réincarné ?

R 9 : Une petite mésange à tête bleue avec une petite queue de chat tigré

jeudi 14 mars 2013

Teresa Madruga          Dans la Ville Blanche          1983

mercredi 13 mars 2013

FRAGMENTS D'UN MANIFESTE CANIN (16)

La question de la cohabitation canino-humaine n'est pas existentielle, mais matérielle. Tout comme certains hommes ont des problèmes avec les humains et pas avec les chiens, certains chiens sont en délicatesse avec les chiens et trouvent du réconfort auprès des humains. Par exemple, je fuis comme la peste les superdogs, mais tire un grand profit de la fréquentation des untermensch. « Et avec les underdogs ? » m'a demandé ironiquement Bedwho en faisant - mal - semblant d'ignorer la réponse à cette question. « Tu le sais bien, Garfunk » lui dis-je en l'appelant par son troisième prénom, ce qui, il le sait, est le signe d'une désolidarisation totale de nos points de vue. « Je sais ce que tu m'as dit vingt fois » poursuivit-il : « Ton père déterminé helmetburger en 1915 et ta mère qui fit mine de ne pas s'en apercevoir lors de leur rencontre en 1946, und so weiter, mais ça ne me dit pas pourquoi tu te couches à la moindre admonestation ». Je me tus, ne voulant pas pas entamer une discussion avec lui, sachant qu'il est très remonté sur tout ce qui touche à la soumission en général et à la paranoïa canine en particulier. À la réflexion, j'eus tort, le plus grand des mutismes étant de parler. Cette phrase me revient parfois en tête. Peut-on extrapoler ? La plus grande révolte consisterait-elle à se coucher ?

mardi 12 mars 2013

LES BONS PLANS (9)

ou COMMENT ÉVITER LES MAUVAIS PLANS

Phrase à ne pas dire à la veuve d'un pompier : « j’appréciais beaucoup feu votre mari »

lundi 11 mars 2013


the Jefferson Airplane and the Pizza Taster, 2008

dimanche 10 mars 2013

SEE THEM AT THE AIRPORT WITH THEIR CASES IN THEIR HAND

GOT  A  TEN  DAY  PACKAGE  IN  ANOTHER  LAND

THEY ARE THE JET AGE GYPSIES WITH A SUPERSONIC SOUND

THEY ARE THE PORTABLE PEOPLE AND THEY TAKE THEMSELVES AROUND

PORTABLE  PEOPLE  FLYING  IN  THE  AIR,  PORTABLE  PEOPLE  GOING  EVERYWHERE

http://grooveshark.com/s/
Portable+People/4tj5Lt?src=5

samedi 9 mars 2013

Présenter Tchéky sans parler de son rôle dans Nikita de Luc Besson [ l'instructeur de Nikita ] ou dans l'Ours de Jean-Jacques Annaud, c'est quand même un peu fort de Karyo !

" On va tous y passer " du vendredi 8 mars


rocker de merde maquillé par un merdeux  1976  ~)(~

vendredi 8 mars 2013

BREF SI TONTON EN AVAIT PAS EU, ON L'AURAIT APPELÉ TATA, MAIS DIEU MERCI ON N' A PAS EU BESOIN DE RECOURIR À CES EXTRÉMITÉS !

C'est À l'ombre des maris qui clôt ce vol. XI. « Ne jetez pas la pierre à la femme adultère, je suis derrière ». Tout un programme malgré tout. Désormais, Georges aura son Olympe dans le dos. Bien sûr, il l'aura à nouveau devant lui chaque fois qu'il fera demi-tour, mais ne jouons pas sur les mots. Pas avec lui. En 1973, la tournée au Royaume-Uni fera l'objet d'un album confidentiel, suffisamment pour que je ne l'aie jamais vu. Puis en 1976, ce seront les "Nouvelles chansons". Nouvelles, certes elles le sont, plus ou moins. La veine et la verve sont toujours là, mais un ton en dessous. La courbe s'est infléchie. La pente est faible, mais descendante. Rien n'approchera plus le génie des trois disques précé-dents, qui, la moitié d'une vie humaine après, soufflent toujours leur brise vivifiante sur nos visages tannés, tel un petit mistral pressé d'atteindre le golfe du Lion. Sur les quatorze chansons, j'en ai gardé sept. Les ricochets, Le modeste, Don Juan, Les casseuses, Cupidon s'en fout, Histoire de faussaire et Mélanie la scandaleuse pour finir. C'est peu pour un disque de Brassens. Cinq ans plus tard, tonton Georges casse sa pipe. Contrairement à ce que chantait Jim Morrison - I can't see your face in my mind - l'image de son visage est encore très présente dans mon esprit. Quant à sa pipe, elle fume encore.

jeudi 7 mars 2013

ON L'AURAIT APPELÉ TATA (2)

Plutôt que parler de cette chanson, il faut l'écouter, dix fois, vingt fois. Le risque à faire du prosélytisme avec MPDI* réside dans le fait qu'elle peut décourager l'apprenti chanteur, l'auteur en herbe, pour cause de perfection inaccessible. Mais elle peut également avoir l'effet inverse et susciter des vocations, donner l'envie du verbe, fouetter l'ambition de n'importe quel ami des arts et des lettres. Je penche (donc je suis) pour cette hypothèse optimiste, qui est bien le meilleur destin pour une chanson si sombre et si brillante à la fois. Mais il ne faut pas que l'arbre cache la forêt, et cette livraison triennale du moustachu à l’œil qui frise recèle d'autres perles, Quatre-vingt-quinze pour cent, À l'ombre des maris, deux brûlots du féminisme ambiant du début des années 70, et aussi Le roi, une comptine politique avec chœurs, sans équivalent dans la discographie du poète à la bouffarde. Et que dire de la Ballade des gens qui sont nés quelque part, une observation de l'homme dans son bocal, une gravure au vitriol, acerbe, drôle, avec cette verve inimitable qui n'appartient à aucun autre ? Enfin, pour la bonne bouche, et si vous avez encore de la place pour cette petite douceur, il reste Les stances à un cambrioleur, un échantillon de tolérance non feinte en forme de galéjade, articulée, stancée pourrait-on dire, à la manière de...Claude Nougaro* ! Si, si, réécoutez-là et dites-moi si je me trompe !

* Mourir Pour Des Idées  * Peut-être en raison de la proximité avec la chanson d'à côté, La ballade des gens qui sont nés à Toulouse ??...

mercredi 6 mars 2013

ON L'AURAIT APPELÉ TATA (1)

En octobre 1972, on voit apparaître pleine page sur la pochette du nouvel album une photo en couleur - et en extérieur - du plus illustre des fumeurs de pipe, de profil, grisonnant du chef, mais pas du cortex cérébral. Les tempes du récent quinquagénaire sont plus argentées que le dos du gorille et son regard est porté sur un ailleurs qui sort du cadre. Sur le disque, pas de numéro dans la série, et comme d'habitude, pas de titre. L'ivresse promise au vu du flacon et le portrait de l'artiste ont semblé suffisants au responsable marketing de Philips France pour attirer le chaland. Assurément ils l'étaient, et ils le restent. Seule erreur d'appréciation à mon sens, la chanson qui ouvre le bal, Fernande ; un aimable divertissement qui fait passer trois bonnes minutes et trente-neuf excellentes secondes à l'amateur, mais qui n'a pas le statut de tête de gondole musicale qu'avait à l'évidence La supplique dans le vol. IX, et dans une moindre mesure Misogynie à part dans le suivant. Car la présente galette serre entre ses sillons une montagne, un continent, un univers à lui tout seul, l'une des plus grandes chansons de la langue française, Mourir pour des idées. Située à l'origine en tête de la face 2, elle a conquis depuis ses lettres de noblesse qui la placent au sommet de la pyramide - spirituelle - qui domine le paysage musical de la deuxième moitié du vingtième siècle en France, ce qui n'est pas négligeable

mardi 5 mars 2013

SI TONTON EN AVAIT PAS EU (2)

Fin 1969 avec le vol X, on quitte le divin pour revenir dans une dimension plus humaine ; d'abord, il n'y a que neuf chansons et parmi celles-ci, aucune requête pour être enterré, dispersé, disséminé. L'artiste est un peu en délicatesse avec sa muse au point qu'il met en musique deux poèmes de son choix, Les oiseaux de passage de Jean Richepin et Pensées des morts de Lamartine. Dans le dernier morceau du disque, Sale petit bonhomme, il en fait même l'aveu : « si, pour renouveler un peu mon répertoire, je n'avais besoin de chansons ». Il n'en reste pas moins plusieurs pépites, comme L'ancêtre, Rien à jeter, Misogynie à part et mes deux préférées, Bécassine et La rose, la bouteille et la poignée de main ; deux mélodies qu'on trouverait somptueuses de la part de n'importe quel autre musicien, mais qui sortant de la guitare du grand Georges semblent normales, comme si les textes se suffisaient à eux-même et n'avaient besoin d'aucun écrin. Bécassine renouvelle le thème des Sabots d'Hélène, mais la musique et la poésie arcimboldesque des trois couplets la hissent très au-dessus du lot. Quel lot ? Celui des chansons qui n'ont pas leur pareille. La concurrence reste bouche bée, en panne d'inspiration mais pas d'admiration. Quant à La rose, la bouteille et la poignée de main, c'est l'auberge espagnole, vous y trouverez tout ce que vous voudrez, à condition d'apporter votre oreille ; on pourrait même y décrypter la vision prémonitoire d'un casse-toi pauv' con qui volera dans les travées du Salon de l'Agriculture quelques années plus tard...

lundi 4 mars 2013

SI TONTON EN AVAIT PAS EU (1)

En 1966, Georges Brassens a quarante-cinq ans ; ou a eu 45 ans ; ou encore aura 45 ans. Le temps ne fait rien à l'affaire. Où que se trouve le curseur, il n'a aucun effet sur le propos qui est : l'homo erectus au travail. Donc en 66, GB enregistre le volume IX, en chiffres romains car le sétois reste un indéfectible méditerranéen. Onze chansons sur ce numéro neuf, dont une de plus de sept minutes qui compte pour deux. Le leitmotiv est la mort, pas moins de six chansons en font le portrait : La supplique pour être enterré à la plage de Sète, Le fantôme, La fessée, Le bulletin de santé, Le grand chêne, Le moyenâgeux ; deux parlent de l'amour et des proches : Les quatre bacheliers et La non-demande en mariage ; trois enfin sur la vie sociale et les petits métiers : Concurrence déloyale, L'épave et Le pluriel. C'est dans cette dernière qu'on trouve la réponse à la question qu'aucun journaliste n'osa jamais poser à tonton Georges : Beatles ou Rolling Stones ??... « dès qu'on est plus de quatre, on est une bande de cons »... j'crois qu'c'est clair ! Au fil des ans, cet opus a concentré le génie littéraire et musical de son auteur, comme la mer morte siècle après siècle, augmentant inexorablement sa concentration en chlorure de sodium. J'ai écouté ce disque jusqu'à plus soif, dans le but inavoué ( inavouable ? ) d'en trouver le maillon faible, d'isoler la chanson qui dénoterait dans l'environnement artistique constitué par cet assemblage artisanal de mots et de notes, de rythmes et de rimes. J'avoue que je n'en trouve pas et mon sentiment est le même que celui que j'ai éprouvé quand je l'ai découvert à l'origine : une perfection proche de l'absolu, dans les textes et la musique. Autant chercher une anguille dans une boîte de batraciens.

dimanche 3 mars 2013

Du 4 au 8 mars

Sur une colonne à la une :

"Si Tonton en avait pas eu..."

suivi de :

"On l'aurait appelé Tata !"

samedi 2 mars 2013


All you need is love, 2009

vendredi 1 mars 2013

YEAH                          WHEN                          YOU





                CALL                            MY                            NAME





                                 I SALI                            VATE                           LIKE


 


                                                  A PAV                            LOV                            DOG


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