CELUI QUI CHANTE  (5)

Like dreamers do  :  L' une des premières de Paul

And I love her  :  Nous deux. Le début est de Paul et le pont de moi

I'll be back  :  Moi, une jolie mélodie bien que le milieu ne soit pas terrible

World without love  :  Paul à ses débuts, il l'a écrite quand il avait 16 ou 17 ans. Je crois qu'il a changé le texte plus tard pour le disque de Peter Garfunkel* ou quelque chose comme ça.

* en fait Peter and Gordon

> si je creuse un tunnel pour aller en Australie
 - une véritable "ancienne technologie"
> je vais creuser vers le bas, vers mes pieds
 - ça semble une évidence
> mais quand je vais arriver là-bas
 - en Australie ?
> oui, je vais creuser vers le haut !
 - si tu le dis
> hé oui, je vais arriver de sous terre
 - c'est vrai
> donc je vais finir mon tunnel
 - c'est le but
> vers le haut, vers ma tête
 - ça tombe sous le sens
> oui, alors quand est-ce que je me relève ?

CELUI QUI CHANTE  (4)

I'll keep you satisfied  :  Paul, c'était pour Billy J.Kramer

Love of the loved  :  Paul, l'une de ses premières chansons mais il a dû changer le texte plus tard pour Cilla Black

I'm in love  :  Moi, je l'ai écrite pour les Fourmost

Hello little girl  :  Moi, encore une de mes premières chansons pour les Fourmost

Can't buy me love  :  Paul et moi, mais surtout Paul

From a window  :  Paul... ce doit être Paul mais je ne m'en souviens pas très bien

IL  FAUT  PENDRE

LE  TONNEAU

PAR  LES  CORDES

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O

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MNÉMOTECHNIQUE POUR TOUS  (12)

1) Vous allez me dire et vous aurez raison qu'un moyen

2) Mnémotechnique écrit n'est pas un bon moyen

3) Car si on écrit quelque chose pour s'en souvenir

4) On perd le bénéfice de l'opération puisque le but

5) Recherché est de garder certaines choses en tête

6) Et non pas d'en garder une trace écrite

7) Cette question se résume en un duel

8) Entre la tradition orale et la tradition écrite

9) N'ayant aucune facilité pour la première

10) J'ai cultivé la deuxième vaille que vaille

11) Bref je n'abandonnerai pas cette rubrique

12) Même si elle n'a pas de bien-fondé

13) Parce que dans un journal

14) La rubrique est reine

CELUI QUI CHANTE  (3)

I'll be on my way  :  Paul, à ses débuts

Bad to me  :  Moi, je l'ai écrite pour Billy J. Kramer

It won't be long  :  Moi, je l'ai écrite pour notre deuxième album. C'était la fameuse chanson avec les soi-disant séquences éoliennes comme dans une symphonie de Mahler. Je n'ai pas encore compris ce que tout cela voulait dire

All my loving  :  Paul, ce fut l'un de ses premiers hits

Little child  :  Paul et moi, une vite fait pour Ringo

Hold me tight  :  Tous les deux mais surtout Paul, j'ai dû faire la fin

Zach Moss et Prosper Karangwa                                                   © Michel Cussinet 2009

J'avais une bonne mémoire, je l'ai perdue.

J'avais le sens de l'orientation, je ne l'ai plus.

J'avais une des qualités de ma mère, je l'ai perdue.

J'étais de bonne humeur du matin, j'ai oublié ce que matinée signifie, si j'entends ce mot, je comprends spectacle, séance de l'après-midi, ou alors abâtardie, qui n'a plus son authenticité originelle, oui bien sûr dans ce cas, il faut un accent circonflexe sur le a, mais qui s'en apercevra, qui s'en souciera ?

CELUI QUI CHANTE  (2)

Thank you girl  :  Paul et moi. Ce n'est qu'une chanson idiote écrite à la va-vite

She loves you  :  Tous les deux. Pendant une tournée

Misery  :  Tous les deux, mais surtout moi, je crois

Do you want to know a secret  :  Moi, je l'avais écrite pour George

I call your name  :  Moi, je l'ai commencée quand j'avais à peu près 15 ans et je l'ai terminée des années plus tard à l'époque de Help ou Hard day's night

MNÉMOTECHNIQUE POUR TOUS  (11)

Happy together          :  The Turtles  1967
Sing this all together  :  The Rolling Stones 1967
All together now         :  The Beatles  1969

Vingt ans après sa mort, Lady D. est partout. C'est une star mondiale. Paix à son âme. Mais qui se souvient de Lady Day? Billie Holiday, chanteuse noire, toxicomane, morte à 44 ans en 1959. Une militante emblématique de la cause des droits civiques avant que Martin Luther King et ses combattants ne s'en emparent avec perte et fracas dans les années 50. Je l'aurais oubliée, pire je ne l'aurais peut-être jamais connue s'il n'y avait pas eu cette chanson de Lou Reed sur l'album Berlin. Lady Day, c'est un chef d’œuvre, une perle noire sur une plage de sable blanc, une étoile qui illumine le paysage musical américain des années 70. Une de ses meilleures compositions post-Velvet, qui gagna sa place sur Rock n Roll Animal et qui la tint, ce qui n'est pas donné à n'importe quelle chanson, bien calée entre Sweet Jane, Heroin, White Light, White Heat et Rock and Roll, excusez du peu. Réécoutez-la.