Asthénie du matin, chagrin

 

Ringo Starr du swar, espoir

 

Un optimiste, c'est un homme qui plante deux glands

                                              et s'achète un hamac

 

Jean de Lattre de Tassigny

 

Q  =  M. et Mme Himon-Quicki ont un fils

R  =  Alonze

« Cyclistes, fortifiez vos jambes en mangeant des œufs mollets ! »

Pierre Dac

Q = c'est quoi un aquoiboniste ?

R = un faiseur de plaisantristes

Q = la folie des glandeurs

R = paresse

© les mots croisés

de Vincent Labbé

J'ai vu le couvreur, il m'a parlé de toit

 

                           Bonjour toi, cher Crêt de Chalam

 

                                                     Chalamalecum, Monsieur Ducret

 

Holà, le couvreur m'a parlé de vous

Q = comment appelle-t-on

       une chauve-souris qui

       porte une perruque ?

R = une souris

Vous vous sentez coincés

parce que vous êtes coincés...

dans un grande tablette de chocolat

Personne n'a oublié Guillaume Tell, sa révolte et son adresse légendaire, la pomme transpercée sur la tête de son fils. Celui-ci a subi quelques moqueries, du style Tell père, Tell fils, etc. Sa sœur est restée dans l'anonymat. Ses parents l'avaient appelée Taglia, un joli prénom italien, mais qui lui a valu quelques sourires et blagues de potaches. Toi je vais te manger al dente, mais à quelle sauce...

 

Oui, je suis souvent à deux doigts de l'évanouissement... mais j'ai des gros doigts ( rires )

 

Jacques Brel           

moi qui coup

pais toujours

les  cheveux

en quatre (4)

j'affectionnais

                              ce vieillard maniaque

                                                                      qui coupait les nouilles

au sécateur

Suis sec, tari, fat au gué, fatigué. La seule chose qui a germé cette semaine dans mon cerveau est une blague de potache attardé. Maquerelle et Mère Con sont sur un bateau. Maquerelle tombe à l'eau. À qui le tour ?

Deux amis entrent
dans un bar

> deux bières !

 - des pressions ?

> non, alcoolisme

anagramme de
chauve-souris :

souche à virus

Deux belges, le mari et la femme, sont de retour en vacances de neige à Val d’Isère. Le premier jour, à leur arrivée au bureau, ils demandent : Bonjour, nous voudrions le même moniteur que l'année dernière, est-ce possible une fois ? Certainement Monsieur, qui était-ce ? Ma foi, nous ne saurions plus dire son nom, mais il portait un anorak bleu. Monsieur, tous nos moniteurs portent un anorak bleu. Oui bien sûr, sommes-nous bêtes, je me souviens, il avait un bonnet rouge et blanc. Oh je suis désolé, mais tous les moniteurs ont un bonnet rouge et blanc, ce sont les couleurs de la station. Ah je sais dit la femme, il était français, je ne l'ai jamais vu avec une bière ou un cornet de frites à la main une fois. Mais Madame, notre personnel est principalement français et sobre. Alors ça une fois, c'est remarquable, mais je me souviens de quelque chose qui n'est pas ordinaire et qui va vous aider grandement une fois. Oui Madame ? Il avait deux trous du cul. Pardon ? Comme je vous le dis ! Je vois. Dois-je prendre ça pour de l'humour belge ? Pas du tout, c'est la vérité, absolument. Et qu'est-ce qui vous fait dire cela Madame ? Ah ça c'est très facile une fois. Sur les pistes ou au remonte-pente, on croisait souvent ses collègues et il y en a un qui lui demandait à chaque fois : Alors tu t'en sors avec tes deux trous du cul ?

Tes laitues naissent-elles ?

Oui mes laitues naissent

Si tes laitues naissent

Mes laitues naîtront

L'autre jour, dans une émission sur l'art, le commentateur, ou la voix off, ou le sous-off, je ne sais pas comment on appelle ces gens-là, parlait de l'essence de la peinture. Première nouvelle, j'ai toujours cru que ce qu'on voit dans les musées, c'était de la peinture à l'huile.

Elle l'avait conçu sans plaisir

On reconnaît le rouquin

                                aux cheveux du père

                                                             et le requin

                                                                              aux dents de la mère

Pierre Desproges