samedi 31 janvier 2015


NAJWA HA                                                                                                     ÏRA NADA

vendredi 30 janvier 2015


I'M LEARNING TO FLY

AROUND THE CLOUDS

BUT  WHAT  GOES  UP

MUST   COME   DOWN

Learning+To+Fly
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jeudi 29 janvier 2015

le bonheur, faut arrêter avec ça... c'est un concept fumeux, un vent de philosophe, un rêve qui ne recoupe aucune réalité... je suis un rabat-joie ?.. un pisse-froid ?.. un pessimiste ??? mais non, je suis lucide... pour être pragmatique, faisons le parallèle avec la justice... la justice, ça n'existe pas... contentons-nous de lutter contre l'injustice... alors pour ne pas désespérer bille en cour, on peut essayer d'être "pas malheureux"... ça oui.

mercredi 28 janvier 2015

DERNIER TANGO À L.A. (2)

C'est au Pierre, en face de Central Park, où il s'est installé en rentrant de L.A., que Lennon a composé la plupart des chansons de cet album qui doit succéder à Mind Games, publié l'année précédente. Le thème qui domine ses nouveaux morceaux, c'est l'absence de Yoko Ono, dont il est séparé depuis l'été précédent - on lui attribue cette fameuse phrase prononcée a posteriori : " Notre séparation a été un échec total " -, dans une tentative complètement ratée de pallier certains manques qui semblent déséquilibrer une relation jusque-là incroyablement fusionnelle.
Going Down on Love, le premier titre, donne par exemple une assez bonne indication de l'état d'esprit plutôt sombre qui a dominé les premiers mois, Lennon paraissant totalement désorienté par l'absence de Yoko. Un peu plus loin Bless You, qu'il considérait comme la meilleure chanson du disque, est une réflexion sur l'amour qu'il lui porte et "la façon dont l'amour évolue, ce qui est une des surprises que nous réserve la vie. Ce n'est plus tout à fait la même chose même si c'est encore de l'amour, et Bless You parle en partie de ça". What You Got, quant à elle, évoque directement Yoko et ce qu'il a perdu en la quittant. Au départ une chanson rockabilly inspirée par Carl Perkins et pastichant le Rit It Up de Little Richard, elle se transforme en performance disco-funk telle que les O'Jays pouvaient la pratiquer alors avec succès. Pourtant, c'est bel et bien May Pang, sa compagne du moment, qu'on entend sur #9 Dream, somptueux titre mid-tempo gorgé de chœurs et de cordes, aux arrangements directement inspirés de ceux que John avait écrits pour la rep- rise du Many Rivers to Cross de Jimmy Cliff, enregistrée par son ami Harry Nilsson, lequel cosigne la ballade Old Dirt Road - sur laquelle il assure également les backing vocals.

(à suivre)   © Manuel Rabasse 2014

mardi 27 janvier 2015

tout comme mitterrand n'avait pas le monopole du coeur, les musulmans n'ont pas celui de la persécution. si un doute persiste, se reporter à la formule d'un rescapé du camp d'auschwitz qui dit en dix mots la solution finale : « tu entres par la porte, tu sors par la cheminée. »

lundi 26 janvier 2015

 TRADUCTION EN FRANÇAIS DE L'HISTOIRE COURTE DU 15 JANVIER 

  L'autre jour, j'étais à Marrakech

> alors, c'était bien ?
  oui, mais j'ai perdu mes lunettes
> comment ça ?
  dans la foule, sur la place des Nations Unies
> c'est pas la place des Nations Unies, c'est la place Jamaa El Fna
  tu sais... moi, sans mes lunettes !

dimanche 25 janvier 2015


la chair est triste                                                                                     waiting for fun
SI ZLATAN NE VIENT





PAS À TOI





NE VA PAS À ZLATAN

samedi 24 janvier 2015


help me get my feet                                                                        back on the ground

vendredi 23 janvier 2015

à 7h du mat, une femme me téléphone pour me demander si loïc bernard est mon fils... bien sûr que non est la réponse qui parvient en quelques millisecondes à mon cortex préfrontal... j'exagère, il y a longtemps qu'aucune réponse à aucune question ne me vient plus en millisecondes, mais en centièmes, voire en dixièmes de secondes... et bientôt, je m'y prépare, sera franchi le cap fatidique de la seconde... mais revenons à loïc bernard... je lui dis que non, mais quelque chose dans ce banal "non" doit émettre un signal contradictoire, car elle me répète... bernard, loïc bernard... je me ressaisis et lâche le morceau... non madame, mon petit-fils s’appelle george (sans "s") rémi et parmi mes aïeuls se trouve claude bernard... merci monsieur dit-elle doucement, comme si elle avait ouvert une porte sur une chambre à coucher ensommeillée ou une salle de bains embuée

jeudi 22 janvier 2015

AMAZONA

http://grooveshark.com/s/
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RIDE YOUR DONKEY

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mercredi 21 janvier 2015

DERNIER TANGO À L.A. (1)

En juillet 1974, John Lennon prend ses quartiers au studio Record Plant de New York. Il est là pour enregistrer et produire lui-même les chansons qu'il a écrites depuis son retour à New York, après avoir séjourné plusieurs mois à Los Angeles en compagnie de May Pang, sa jeune assistante, avec laquelle il entretient une liaison plus ou moins téléguidée par sa femme, Yoko Ono. Soit l'une des périodes les plus troublées de la vie de John, que l'histoire retiendra sous le nom de Lost Weekend mais qui s'avérera aussi l'une des plus créatives de sa carrière solo. Au printemps, celui qui selon le journaliste Elliot Mintz "ne s'est jamais habitué à L.A." s'est installé dans un petit appartement de la 52ème Rue Est avec May Pang. Les deux amants ont pour voisine Greta Garbo, la "Divine". Après les excès du Lost Week-end, durant lequel, de son propre aveu, il s'est "noyé dans l'alcool", John est dans une période plutôt positive. Il lui arrive encore de se soûler mais pas excessivement, et il reçoit chez lui, avec beaucoup d'affabilité, quelques vieilles connaissances de passage en ville comme Paul et Linda McCartney ou encore Mick Jagger, avec et parfois sans Bianca... Il y accueille surtout Julian, le fils né de son premier mariage avec Cynthia, qu'il n'a pas vu depuis plusieurs années et avec lequel il vient de renouer. Lennon essaie d'être un bon père. Pour Julian, il endosse même le rôle de professeur de guitare, et l'invite à jouer (de la batterie) au Record Plant le temps d'une courte reprise de Ya Ya, lors des sessions de ce qui deviendra l'album Walls and Bridges.

(à suivre)   © Manuel Rabasse 2014
ZONE DE





VÉRITÉ





TAMPON

mardi 20 janvier 2015

Alors le choix qui nous incombe maintenant c'est Charlie et le Monde Libre d'un côté, ou Boko Haram, Daech et les différentes succursales d'Al Qaïda de l'autre. Je force le trait volontairement, bien sûr il y a les alliés, les sympathisants, les non-alignés, les exégètes, les philosophes, les laïcs entiers, les laïcs allégés, les juifs, les orthodoxes, les boud- dhistes, les agnostiques, etc. Si Prévert était encore là, il nous ferait un bel inventaire à sa manière. Mais on en revient toujours au même point. Personne n'arrivera à convaincre un chrétien que sa religion est un leurre, un juif un fardeau, un musulman une prison. Partant de là, c'est comme au deuxième tour des élections, il faut choisir son camp. Dans le meilleur des cas, celui qui correspond à ses convictions. Dans les autres cas, celui qui représente le moins mauvais compromis. Sachant que si on ne choisit pas, si on ne se déplace pas, on est le cocu de la farce, le dindon de l'élection. Donc pour en revenir à la situation actuelle, je n'arrive pas à me résoudre, à me dissoudre dans l'un ou l'autre des belligérants. Par contre, je serais tenté d'adhérer à un courant, un ensemble mal défini mais qu'on devine et qu'on pourrait appeler SFIA = Section Française de l'Inter- nationale Athée. Ça me plairait bien, mais il n'existe pas. C'est dur de militer pour le néant.

lundi 19 janvier 2015


       Droopy O. Goldman                      à                      Son Altesse Mohammed VI
       9, rue Rosa Luxemburg                                     Palais d’Été, rue Sidi Mimoun     
       51307 Vitrify-le-François                                Marrakech - Royaume du Maroc    
                                                                                                                                                              
                                                                                     Vitrify, le 19 janvier 2015

           Chère Altesse Mohammed,                                                                               

       Je tiens à vous remercier pour l'accueil que j'ai reçu à Marrakech le 1er janvier.
       Pendant mon séjour, chacun a rivalisé de gentillesse et d'amabilité, sauf qu'en
       retour je suis un peu gêné d'avoir dû décliner beaucoup des offres qui m'ont été
       faites pour les babouches, maroquineries, tapis, pierres semi-précieuses, etc.
       Mais vous le savez, le poids des valises sur un vol low cost est limité à 23 kg.
       J'ai pu voir le bon traitement réservé aux ânes, mules et autres animaux de bât,
       ainsi que la félicité des chats dans les souks et sur les toits. Ça m'a fait chaud
       au cœur. Peu de chiens, mais là je vous taquine, je ne suis pas objectif !
       J'ai apprécié aussi la présence et la disponibilité de votre gendarmerie royale
       et police royale, toujours près de l'action, comme disent les commentateurs
       de foot. Il n'y a qu'un seul bémol, concernant la Poste. Elle n'est pas signalée
       comme royale, et comment ne pas y voir un rapport de cause à effet, elle est
       peu efficace. Peu de boîtes, peu de levées, un timbre à votre effigie très joli,
       mais cher (8,40 dh) et une distribution hors du royaume assez lente.
       Mais tout cela est sans importance au regard des bonnes journées au soleil
       que j'ai passées dans votre beau pays.
       Merci encore et à une prochaine fois, Casablanca peut-être ou Ouarzazate
       et les montagnes du fier Atlas.
       Affectueuses pensée de la vieille France qui salue votre jeune peuple.

                                                                                        D.O.Goldman

       P.S. à propos des timbres, il n'y a pas assez de gomme arabique au dos
              on peine à les faire tenir sur la carte postale, ça colle pas bien !
                                                                                                                                                                                                 

dimanche 18 janvier 2015


pas d'échelle pour les oiseaux                                                 birds don't need no ladder
ZZZZZZZZZ





VVVVVVVVV





TTTTTTTTT

( monologue du dormeur )

samedi 17 janvier 2015

  chat de garde                                                                       cat doing a dog job

vendredi 16 janvier 2015

« Mon Dieu, épargnez-moi les douleurs physi- ques, les douleurs de l'âme je m'en charge » J'aime Oscar Wilde pour son unique roman, The picture of Dorian Gray, un coup de maître, un chef d’oeuvre absolu, mais cette phrase rap- portée est très discutable. Comme quoi on peut être beau gosse, dandy et grand poète, on peut avoir couché sur le papier Le portrait de Dorian Gray et avoir été dépassé par sa pensée.

jeudi 15 janvier 2015

دات يوم, كنت في مراكش.
وبالتالي, كان جيدا؟
نعم. لكنني فقدت نظارتي.
كيف ذلك؟
في الحشد. في ساحة الأمم المتحدة.
ليست ساحة الامم المتحدة, انها ساحة جامع الفنا.
!انت تعرفني...بدون نظارتي

mercredi 14 janvier 2015

DERNIER TANGO À L.A. (0)

Tous les mercredis à partir du 21 janvier, le Fermoir publiera un article de Manuel Rabasse intitulé  Dernier tango à L.A.  publié dans Rolling Stone d'octobre 2014. Il sera question de la période américaine de John Lennon, entre New York et Los Angeles, années 1973-1974
 ATTENTION  = lecture déconseillée aux accros de DEXTER, ESPRITS CRIMINELS, TOUCHE PAS À MON POSTE, aux femmes enceintes, aux insuffisants rénaux, aux personnes souf- frant d'intolérance au génie utilisé pur, donc à tout individu non sensible à  The BEATLES 

mardi 13 janvier 2015


© Lasserpe

lundi 12 janvier 2015



- Nous voudrions que les choses changent, mais que d'une certaine façon elles restent aussi les mêmes. Ce qui, compte tenu de la complexité de ce que vous avez créé, l'incohérence même, ne devrait pas présenter des difficultés insurmontables.                  © Sempé 2014

dimanche 11 janvier 2015





































  des pieds et des jambes
ZANDER SCHLOSS






CONNAISSEZ





VOUS CE TYPE ?

samedi 10 janvier 2015


lumière sol air

jeudi 8 janvier 2015

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PAR SOLIDARITÉ AVEC LA PRESSE SATIRIQUE FRANÇAISE, LE FERMOIR BAISSE LE RIDEAU EN SIGNE DE DEUIL >< LA PARUTION REPRENDRA SAMEDI 10 JANVIER

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mercredi 7 janvier 2015

le grand miroir                                                                                        the big mirror

mardi 6 janvier 2015

dans ma famille les naissances se font par trimestre : janvier, avril, juillet, octobre... surtout en janvier et en octobre... combinaison de caractères élémentaires... 0/1... 1/0... ad libitum... ad vitam non aeternam... le six janvier est la date anniversaire du jour où y'ug a déplié le parachute d'alvéoles pul- monaires confectionné par sa mère pendant 39 semaines environ... sacré boulot !.. de le fab- riquer et de savoir correctement l'utiliser...

lundi 5 janvier 2015

Christine Angot / Une semaine de vacances / J'AI LU 10369* / Composition NORD COMPO / Achevé d'imprimer en Espagne par  BLACKPRINT  CPI  IBERICA  - 15 avril 2013

* le dos de couverture porte le n° 10370

Très beau spécimen de BT33 = Bloc Texte 33 lignes
Volume texte = 88 pages
Retirer les pages incomplètes ou avec renvoi à la ligne :

7-9-37-38-44-54-55-59-65-83-84-85-87-91-94 = 15 pages
Volume pondéré = 73 BT33 = 2409 lignes pleines valides

Format BT = 152 x 81 mm
Forme = beau visuel
Densité = moyenne
Texture = souple
Fond = ivoire végétal
Contraste = équilibré
Police = romaine non ecclésiastique

La page 10 est une belle réussite : aucun point d'exclamation, ni d'interrogation, ni de suspension, pas d'italiques, pas de guillemets, pas un seul tiret pour couper un mot, que des points et des virgules, pas plus de 15 majuscules, soit un ratio inférieur à 0,50 majuscule par ligne pour ce très beau BT33. En résumé : on reste évidemment très en deçà des Everest du Bloc Texte que sont L'Innommable de S.B. Beckett (10/18 n°664) ou Mort à Crédit de L.F. Céline (Livre de Poche n°295/296), mais à l'impossible nul(le) n'est tenu(e). En tout cas, ces 73 blocs sveltes et graciles réjouissent l’œil plus d'une fois !  ><

dimanche 4 janvier 2015


another guy named george
Z UN FILM





DE GAVRAS





COSTA

samedi 3 janvier 2015


a guy named y'ug

vendredi 2 janvier 2015

SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG
SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG
SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG SAD SONG

http://groove
shark.com/s
/Sad+Song/
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jeudi 1 janvier 2015

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