mercredi 31 janvier 2018

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lundi 29 janvier 2018

samedi 27 janvier 2018

> t'as vu le blackface de Griezmann
 - déguisé en Harlem Globe Trotter ?
> oui, c'est moche, il est mal
 - ah bon il est mal ?
> ouais, il a dû s'excuser
 - et Nougaro, faut qu'il s'excuse d'avoir écrit Armstrong ?
> tu délires, on s'excuse pas quand on est mort
 - lui non, mais ses ayants droit peut-être
> c'est une chanson, pas un blackface
 - si, c'est un blackface en chanson
> toi, tu cherches les emmerdes
 - et aussi Nino Ferrer, Je voudrais être noir
> arrête, tu mélanges tout
 - et Michael Jackson, un white face contrarié
> t'énerve pas, c'est pas bon pour ta tension

jeudi 25 janvier 2018

THIRD MOUSE BLIND

mardi 23 janvier 2018

Q = pris pour un jambon par un sale ami

R = trahi

dimanche 21 janvier 2018

FRAGMENTS D'UN MANIFESTE CANIN (89)

En me laissant assister à son enterrement, sans craindre les commentaires de quelque malappris, il a tenu parole et je lui en sais gré. Il a réparé le mal atroce, le seul mal qu'il m'ait jamais fait, par une journée de mai 1993, le 4 mai précisément. Ce jour-là, il s'en était allé à Nevers enterrer son ancien Premier ministre Pierre Bérégovoy. Celui-ci s'était suicidé trois jours auparavant pour une sombre affaire à laquelle je n'ai jamais rien compris, un prêt sans intérêt de un million de francs pour acheter une niche dans un quartier chic. Je n'étais pas du voyage et j'avais passé l'après-midi à l'Élysée, sommeillant, les yeux mi-clos, devant un poste de télévision que le garde avait laissé allumé pour ne rien perdre des faits et gestes de mon maître. C'est alors que je l'avais entendu tenir ces propos insensés où il fustigeait ceux qui avaient « jeté en pâture aux chiens l'honneur d'un homme ». Je n'en avais pas cru mes oreilles. Il osait nous assimiler à ces misérables scribouillards qui, jadis, lui faisaient la cour. Il osait, de surcroît, faire de nous des charognards en quête d'une nourriture malsaine. Je le savais émotif, prêt à tout sous l'effet du chagrin et de la douleur, mais je n'aurais jamais imaginé qu'il puisse s'en prendre à nous, à moi, aux chiens, les seuls êtres vivants qui l'aient aimé de façon désintéressée et qui ne l'aient jamais trahi ou tenté de le faire.

BALTIQUE Le chien du Président / ABOITIM 1 © 1996

vendredi 19 janvier 2018

Samedi dernier, dans le demi-sommeil du matin, je rêvais, à demi, des Moody Blues. Je revoyais Denny Laine, les premiers succès en 1965-66 : Go now, Bye bye bird, Stop, et puis Mike Pinder et aussi Justin Hayward, qui a écrit et composé Nights in white satin. Mais impossible de retrouver le nom du grand brun à moustaches, que l'on remarquait souvent en premier sur les photos, peut-être à cause de ce look atypique. Puis plus rien, jusqu'au soir. Et dans le trombinoscope de On N'est Pas Couchés, je remarque la photo n&b d'un inconnu. Vu la photo et vu le noir et le blanc, un homme des années 60. C'était Ray Thomas, le chanteur flutiste des Maudits Blues, décédé quelques jours plus tôt. Alors j'ai cherché le lien, le fil qui m'aurait relié à lui alors que j'ignorais ce sort funeste. En vain. Rien. Ni journal, ni internet, TV, radio ou bouche à oreille. Juste le pouvoir du rêve :.

mercredi 17 janvier 2018

FRAGMENTS D'UN MANIFESTE CANIN  (88)


lundi 15 janvier 2018

LA VIE CONJUGUE MAL (2)

Ma rencontre avec George Michael eut lieu en 1988, lors du concert donné à Wembley pour les 70 ans de Nelson Mandela. Il chanta trois morceaux, dont Sexual Healing de Marvin Gaye, et surtout Village Ghetto Land de Stevie Wonder. Une performance vocale inouïe, un choc émotionnel, mais qui ne fut le début de rien. Je n'achetai aucun disque. Pendant de très nombreuses années, personne ne me remit sur la piste de Mr George. Puis il est mort, le jour de Noël 2016. Neuf mois plus tard, je tombais par hasard sur un exemplaire abandonné, égaré de LISTEN WITHOUT PREJUDICE. Ce CD date de 1990. Beaucoup d'eau a coulé des glaciers. À ceux qui n'aiment pas ce disque, je ne dirai rien. À ceux qui ne le connaissent pas, écoutez-le. Enfin, à tous ceux qui n'ont pas le temps de prendre le temps, juste quelques chansons. Praying for time : comme une fine gueule trouve des arômes de litchi ou de fraise des bois à un grand cru, je perçois dans cette chanson une gouaille voisine de celle de John Lennon, alliée à des harmonies de Paul, le tout baignant dans un arrangement la Elton John". D'où une forte envie de poursuivre. Freedom : un titre connu pour sa vidéo, heu... très peu fleur bleue. Alors si vous craignez un usage trop profane du gospel, passez au suivant. They won't go when I go : encore une reprise de Stevie Wonder, qui surpasse celle de Village Ghetto Land. La perfection vocale et instrumentale étant indicible, je vous laisse l'imaginer. Cowboys and angels : vous aimez Nat King Cole, Frank Sinatra, Maria Callas, le jazz, la salsa, l'opéra de 4 sous ou de dix louis ? Vous ne serez pas déçu. Si vous n'aimez rien de tout ça, attendez-vous à être surpris. Waiting for that day : ça commence en Lou Reed mineur et ça se termine en Mick Jagger fataliste. Quoi de plus normal pour une refonte des Rolling Stones. Heal the pain / Soul free : deux plages rythmiques qui secouent les cocotiers. Le souffle des cuivres soulève une vague à l'envers, et ça vous envoie au large, loin du rock. Alice on her way to Wonderland. STOP. Retour à la réalité. Si quelqu'un(e) écoute ce disque après avoir lu cette chronique, j'aurai atteint mon but. Et à toi, George parmi les Georges, merci.

jeudi 11 janvier 2018


TU  NE  M'AS  DÉROBÉ QUE LE  STRICT  NÉCESSAIRE

DÉLAISSANT  DÉDAIGNEUX  L’ EXÉCRABLE  PORTRAIT

QUE L'ON  M'AVAIT  OFFERT  À  MON  ANNIVERSAIRE

QUEL BON  CRITIQUE D'ART MON SALAUD  TU FERAIS

mardi 9 janvier 2018

FRAGMENTS D'UN MANIFESTE CANIN  (87)

Défenseur canin-de la cause des canins chiens, je n'en suis pas moins homme. Après Marcela Iacub à la rentrée, c'est maintenant Raphaël Enthoven qui y va de son couplet sur Che Guevara. Ce n'est qu'une chronique de 3 pages dans son dernier livre et il ne l'accuse de rien, mais nom d'un chien, qu'a donc fait ce révolutionnaire assassiné il y a 50 ans pour qu'à tout propos, on caricature son engagement, on passe sous silence son action ? Aux yeux de certains, admirer le Che est devenu déplacé, presque pervers. À ceux qui pensent cela, je dis que c'est une faute devant l'histoire que de vouloir juger un homme d'une autre époque à l'aune des valeurs d'aujourd'hui. En être réduit à parler de Ernesto Guevara en utilisant le mot de marché, au sens de société, ou le mot de produit me laisse un goût amer. Je mets au défi ses détracteurs de nous parler de ses actes, et non de sa personnalité ou de sa légende, qu'il n'a pas connue. Qu'ils imaginent ce que représentent un embarquement clandestin du Mexique vers Cuba, 2 ans dans la Sierra, une révolution populaire, et à partir de 1965, encore 2 ans de maquis, de guérilla en Afrique noire et en Amérique du Sud. Qu'ils se posent la question de savoir si eux, intellectuels des années 2000, auraient pu faire quelque chose de comparable dans leur vie, entre 29 et 39 ans. Voilà, juste pour parler homme.

lundi 8 janvier 2018

LIBERTÉ ÉGALITÉ SORORITÉ (12)

Ça y est, aujourd'hui L' Italie est devenue le 6ème pays au nombre de pages lues de mon petit organe de presse souterraine. Grazie mille, fratelli e sorelle dell' Italia ! Drupi Azzurro

dimanche 7 janvier 2018

vendredi 5 janvier 2018

LA VIE CONJUGUE MAL (1)

Longtemps, je ne connus pas le jour et l'heure de ma naissance. Il me fallut attendre d'avoir six ans et de savoir parler pour interroger ma mère et avoir enfin une réponse. Auparavant, je lui avais posé d'autres questions par écrit, dont celle de savoir si j'avais eu une sœur. Elle m'avait répondu que non, c'était un frère et que ma sœur était dans ma tête. « C'est ça, crois le ! » me répétais-je avec un sentiment d'injustice, car presque tous mes copains avaient une sœur et d'un autre côté je déplorais un manque de réussite ou de chance, persuadé que je n'avais pu lire le jour de ma naissance sur le calendrier mural de la maternité à cause du traumatisme de l'accouchement (j'étais un gros bébé, difficile à extraire), mais là je reviens à ma première question, excusez-moi. Bref, ce n'est que vers l'âge de 55 ans que je voulus lever le voile sur la conception de mon frère, et de ma sœur, je n'en démordais pas. Voulant y voir plus clair, car je sentais que tout cela prenait une mauvaise tournure, je remis donc le sujet sur le tapis rouge du sang de nos mères, en l'occurrence la mienne, et lui posai clairement la question. Je savais que c'était la dernière occasion, qu'il n'y aurait pas de prochaine fois. Elle ne répondit pas complètement, et de façon sibylline. Ce n'est qu'après sa mort que j'ai compris ce qu'elle n'avait pas voulu dire.

mercredi 3 janvier 2018

En schématisant à l'extrême le parcours des Beatles, on distingue trois périodes à peu près égales dans la durée, pas dans le contenu : 1962-63 : un prototype de hit, puis des hits, des n°1 - 1964-65-66 : la Beatlemania, les tournées, les films - 1967-68-69 : l'apogée musicale et cultu(r)elle. Dans la discographie, on retrouve la même césure, les hits du début, puis la trilogie HELP, RUBBER SOUL, REVOLVER, qui ne sont que des brouillons de (grand) luxe pour l'apothéose que l'on connaît, SERGENT PEPPER, THE BEATLES, ABBEY ROAD. Ce raccourci peut paraître un peu facile, un peu rapide, artificiel, mais il résume bien la carrière des Fab Four. Sauf qu'on passe toujours sous silence LET IT BE, et pour cause, c'est le seul disque à ne pas avoir été commercialisé en temps réel. Enregistré en janvier 69 dans un climat délétère, Paul voulant tout diriger, George prenant la mouche et John comptant les points, pas content. Quant à Ringo et Billy Preston, c'est grâce à eux que cette session houleuse a finalement accouché d'un très bon disque. À ceux qui en doutent ou qui ne le connaissent pas, je propose d'écouter ces 6 chansons : Two of us, Dig a pony, Across the universe, I me mine, For you blue, Get back. Deux de Paul, deux de John, deux de George. Comme une Petite Démocratie* "made in the UK".

* Exit Ringo sur ce coup, accaparé par son rôle de facilitateur

lundi 1 janvier 2018


























                                    BUON ANNO A TUTTI
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