1967 : mystic George, humble Ringo, nice Paul, rebel John and dog Martha (paw + tail)

MNÉMOTECHNIQUE POUR TOUS  (15)

Claude Nougaro  :  petit taureau
Klaus Voormann  :  l'ami allemand
Claudio Gentile   :  mais pas facile

CELUI QUI CHANTE  (13)

She's leaving home  :  Tous les deux. Paul a eu l'idée du thème de base, mais toute la partie off comme « We sacrificed most of our lives... we gave her everything money could buy... never a thought for ourselves... » tout ceci était ce que Mimi ( la tante qui a élevé John ) me répétait tout le temps. Ce fut facile à écrire

Being for the benefit of Mr Kite  :  Moi, j'ai trouvé le texte sur une vieille affiche de cirque. Je l'ai dans ma salle de billard. La légende selon laquelle "Henry the Horse" serait une allusion à l'héroïne est ridicule

Sacha est mort le jour de son enterrement. On était en train de prononcer les oraisons funèbres, quand soudain son expression s'est figée. Son visage s'est mis à gonfler comme une baudruche et la mort l'a saisi dans son cercueil. On n'a pas eu à lui fermer les yeux. Sous son front bombé comme un pis de vache, sa face boursoufflée ne laissait apparaître que deux anus symétriques par rapport au maigre relief nasal. Le maître de cérémonie a constaté que Sacha avait rendu son âme à la consigne, juste au moment où l'officier des rites ironisait sur la fatuité de l'homme vivant, "qui pète plus haut que son QI" selon son expression. Coïncidence ou pas, le décès était indubitable. On a donc refermé le grand carton dans lequel le mort reposait. Par chance, celui-ci (le carton, pas le mort) était un peu surdimensionné, ce qui fait que le corps gonflé ne dépassait pas du bord supérieur et ne déformait pas les parois. Le MC a scellé les rabats avec un adhésif noir et a demandé aux auxiliaires de messe de transporter le défunt dans le presbytère, afin de terminer l'office pour les fidèles qui le souhaitaient. Néanmoins, dans l'assemblée certains étaient choqués. Les contes pour enfants sont pleins de scènes du même genre que celle à laquelle ils venaient d'assister, quant à la vivre en vrai, c'est une autre pierre de paupière.

Agendas de John Lennon retrouvés à Berlin                             © AFP  Maurizio Gambarini

ÇA SUFFIE MAINTENANT !

LA FÉMINITÉE DOIE L’EMPORTÉE

SUR LA MASCULINITÉE

PARE EXEMPLE, ON DOIE DIRE :

PERDUE PORTE MONNAIE NOIRE

CELUI QUI CHANTE  (12)

With a little help from my friends  :  Paul, c'était son idée. Je crois que je l'ai un peu aidé pour le texte. En fait, j'en suis sûr parce que Hunter Davis était là quand nous l'avons composée et il l'a mentionné dans son livre (la biographie officielle des Beatles). « What do you see when you turn out the light ? I can't tell you, but I know it's mine ». Ces phrases sont de moi

Lucy in the sky with diamonds  :  Moi et encore une fois le titre est de mon fils. La chanson n'avait rien à voir avec le LSD. Je crois que Paul a écrit le dernier couplet

Tout est superflu. Le vide aurait suffi.

E. Cioran

MNÉMOTECHNIQUE POUR TOUS  (14)

Alors que je cher chais

depuis un certain temps

la manière de con server

le sou venir  des cho ses

et que j'entre tenais dans

un jar din non public mais

pas secret la façon de les

main tenir en bonne forme

je m'aper çus que si j' arri
vais à  ali gn er des mo ts

pour écrire un texte cétait

par ce que j'a vais ou blié

beau coup  d e  cho ses

par mi  cel les  qui  ont

le pou voir  de  faire de

l'a ve nir  ta ble  ra se

J'm'interroge sur le repli identitaire

Puis j'demande à Puigdemont

Puis j'm'interroge sur l'histoire des religions
Puis j'demande à plus de monde

Puis j'm'interroge sur la condition nue, man
Puis j'demande à plus de monde

Puis j'm'interroge sur à quoi ça sert d' êt' né
Puis j'demande à plus de monde

Puis j'm'interroge sur la péninsule Ibérique

Puis j'demande à Puigdemont

CELUI QUI CHANTE  (11)

For no one  :  Paul, encore une de ses chansons que j'aimais beaucoup

And your bird can sing  :  Moi, encore une horreur

Dr Robert  :  Moi, Paul m'a aidé pour le pont

Got to get you into my life  :  Paul, mais je crois que George et moi l'avons aidé pour le texte. Je n'en suis pas sûr

Tomorrow never knows  :  Moi, ma première chanson psychédélique

Penny Lane  :  Paul, je l'ai aidé pour le texte

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Est-ce le fait d'avoir été la chose de DSK qui autorise Marcela Iacub a ternir la mémoire de Che Guevara ? Ou autre chose, mais le sait-elle elle-même ? C'est pourtant l'exercice auquel elle se livre. Le titre de son livre est : LE CHE, À MORT. Peu importe la raison, le problème n'est pas là. Il est dans l'enquête à charge, la subjectivité à tous les étages, la volonté de piétiner l'icône, d'aplatir la légende. Sauf qu'une vie de révolutionnaire n'est pas un mythe, c'est un récit factuel, avec des écrits et des témoins, et non une histoire qu'on a racontée aux adolescents des années 70 pour leur vendre des T-shirts, et qu'on rappelle aux enfants d'aujourd'hui pour leur faire comprendre à quoi ressemblait le monde au temps de la guerre froide, quand les réseaux sociaux n'existaient pas. Je ne lirai pas ce brûlot, ce qu'elle en a dit pour le promouvoir m'en a dissuadé. Ernesto y est présenté comme un enfant pétri de frustrations, un idéaliste dépourvu d'empathie, ayant raté sa vie d'adulte en se construisant une image de perdant suicidaire, sanguinaire à ses heures. Si j'ai bien compris, il serait allé jusqu'à mettre en scène sa propre mort. Il serait le précurseur des terroristes qui ravagent ce début de 21ème siècle. Voilà. J'ai usé de mon droit de réponse. Et je forme le vœu que Marcela Iacub n'entreprenne rien sur la vie de Martin Luther King.

Suite à la photo publiée dans le journal le 19 octobre, je cherche à entrer en contact avec le propriétaire du véhicule immatriculé DR-001-PY. Selon le modèle, serais possiblement acheteur à bon prix. Demande honnête et absolument sincère, si pas sérieux s'abstenir.

CELUI QUI CHANTE  (10)

Here, there and eveywhere  :  Paul, c'est l'une de ses meilleures chansons

Yellow submarine  :  Tous les deux. Paul a écrit ce refrain entraînant. J'ai dû l'aider pour le reste

She said she said  :  Moi, je l'ai écrite après une rencontre avec Peter Fonda qui m'avait dit qu'il savait quelle impression ça fait d'être mort

Good day sunshine  :  Paul, mais je crois que j'ai dû l'aider pour le texte