mardi 31 octobre 2017

dimanche 29 octobre 2017

Rebondissement dans l'assassinat de John Kennedy. En rapprochant l'étude balistique du rapport d'autopsie, tous deux classés secret défense, il apparaîtrait que la mort du prési- dent serait due à une blessure à la tête causée par une balle tirée par une arme située à l'avant de la voiture présidentielle, et non par l'arme de Lee H. Oswald retrouvée dans un immeuble situé à l'arrière de celle-ci. Se fondant sur les dernières avancées de l'imagerie cérébrale, un collège de médecins américains aurait mis en évidence que l'expulsion vers l'arrière, hors de la boîte crânienne, d'un morceau d'encéphale de 180 cm3 serait bien la conséquence d'une balle entrée au niveau de l'arcade sourcilière, une blessure qui avait été prise tout d'abord pour un hématome dû à un choc de la face présidentielle contre l'épaule du gouverneur Connally. L'enquête est relancée. Elle s'oriente vers ce tireur n°2.

vendredi 27 octobre 2017

CELUI QUI CHANTE  (9)

In my life  :  Moi, je crois que j'essayais de faire une chanson sur Penny Lane. J'évoquais des endroits que j'avais connus. Une bonne chanson et José Feliciano en a enregistré une très bonne version

Paperback writer  :  Paul, je crois que j'ai dû écrire quelques lignes. Oui certainement. Mais dans l'ensemble la mélodie est de Paul

Eleanor Rigby  :  Tous les deux. J'ai écrit une bonne partie du texte, les deux tiers environ. Ray Charles en a fait une version excellente. Fantastique

mercredi 25 octobre 2017

lundi 23 octobre 2017


       Droopy Goldman                        à  M. le Président du Conseil des Ministres            

       9, rue Rosa Luxemburg                                Palazzo Chigi, Piazza Colonna
       F - 51307 Vitrify-le-François                                      00186  ROMA - ITALIA


                                                                                Vitrify, le 23 octobre 2017

           Monsieur le Président,

       Je soussigné, Claudio Ruggero Parisse, alias Droopy Goldman, demande à
       recouvrir la nationalité italienne dont j'ai été dépossédé dans les années 50. 
       Je n'ai pas de preuves de cette spoliation, ni faits avérés venant appuyer ma
       requête, seulement mon intime conviction. Les juristes et hommes de loi que
       j'ai rencontrés m'ont éconduit, me disant que je n'aurais jamais gain de cause
       en France. C'est pourquoi je m'adresse à vous.
       Un fait nouveau est intervenu. Lors d'un séjour à Palerme en 2016, un éminent
       professionnel de l'hôtellerie a formellement et sans ambiguïté reconnu en moi
       un descendant d'une vieille famille du Royaume des Deux-Siciles.
       Je souhaiterais soumettre à l'administration compétente de votre gouvernement
       les éléments troublants et néanmoins authentiques qui vous permettront d'ins-
       truire ma demande. Soyez assuré que ma renaissance italienne et la révision
       de mon état civil sont les seuls moteurs de ma démarche.
       J'ai donc l'honneur et le privilège de vous demander de bien vouloir m'indiquer à
       qui communiquer les pièces à conviction que je détiens.
       Dans cette attente, je vous prie d'agréer, Monsieur le Président du Conseil,
       l'expression de ma transalpinité souterraine.

                                                                                   Votre dévoué,

                                                                                   Ruggero, fratello d'Italia

                                                                                                                                                                                                   

samedi 21 octobre 2017

CELUI QUI CHANTE  (8)


Yesterday  :  Paul. Ouah !... ça c'en est une bonne

Day tripper  :  Moi, mais je crois que Paul m'a donné un coup de main

We can work it out  :  Paul, mais le pont est de moi

Norwegian wood  :  Moi, mais Paul m'a aidé pour le texte

Michelle  :  Tous les deux. Nous avons écrit le milieu ensemble

What goes on  :  Une de mes premières chansons, Ringo et Paul ont changé le pont quand nous l'avons enregistrée

mardi 17 octobre 2017

Comme disait Himmler  en quittant Auschwitz  pour aller visiter un camp aux Pays-Bas : « Il faut choisir, on ne peut pas être à la fois au four et au moulin ! »
                                                                                                       Pierre Desproges

dimanche 15 octobre 2017

CELUI QUI CHANTE  (7)

I'll follow the sun  :  Paul, une jolie chanson et l'une de ses premières

Eight days a week  :  Tous les deux. Je pense que lorsque nous l'avons écrite, nous essayions d'écrire la chanson générique de HELP ! parce que à une époque le titre devait être "Huit bras pour t'enlacer" ou quelque chose comme ça. Je crois que c'est l'histoire de cette chanson. Je n'en suis pas sûr

It's only love  :  Moi. C'est la chanson que je déteste. Des paroles épouvantables

vendredi 13 octobre 2017


ERRATUM : ICI BAH

C'EST  LE  BORDEL !


BON ANNIVERSAIRE, M. IVO LIVI

REPOSE-TOI ET PRENDS DU BON

TEMPS, ICI BAS C'EST LE BORDEL

mercredi 11 octobre 2017

lundi 9 octobre 2017


HAPPY BIRTHDAY JOHN

SEVENTY SEVEN YEARS

WE LOVE YOU JOHN

YOU CAN'T IMAGINE

samedi 7 octobre 2017


/\  Sometimes I'm up





O





Sometimes I'm down  \/

jeudi 5 octobre 2017

CELUI QUI CHANTE  (6)

One and one is two  :  Paul, elle est affreuse celle-là

I feel fine  :  Moi, c'était la première fois qu'on utilisait le feedback sur un disque. Tout au début

She's a woman  :  Paul, bien que j'aie dû l'aider un peu

No reply  :  Moi, je me souviens que Dick James* est venu me voir après qu'il ait entendu cette chanson et il m'a dit : « Vous faites des progrès, pour une fois, il y a une histoire complète dans votre chanson ». Apparemment, il devait penser que mes chansons tournaient en rond
* leur éditeur à l'époque

mercredi 4 octobre 2017


AUX CIOTTES CIOTTI !

mardi 3 octobre 2017

MNÉMOTECHNIQUE POUR TOUS  (13)

I saw her standing there  :  The Beatles 1963

Have you seen your mother, baby
standing in the shadow ?  :  The Rolling Stones 1966

Standing in the shadows of love  :  The Four Tops 1966

I'm still standing  :  Elton John 1983

dimanche 1 octobre 2017

LIBERTÉ ÉGALITÉ SORORITÉ (10)

Au lycée, dans la bande de potaches qui se réunissait parfois au café du coin, il y avait ce blond barbu, une sorte de gentil bûcheron scandinave, qui ressemblait un peu à Doug Clifford sur la pochette de Cosmo's Factory ou encore au Phil Collins de la grande époque Genesis. Son nom était Schwalm mais nous l'appelions Herrsch. Enfin, ils l'appelaient Herrsch, pas moi, ou alors par conformisme, par panurgisme. Un jour, j'avais pris un de la bande à part et lui avais demandé le pourquoi de ce surnom. Il m'avait ri au nez, genre « arrête avec tes questions idiotes ». Longtemps après à Montélimar, un de mes collègues de travail m'appelait Bruno. Je venais d'arriver et je n'avais pas envie de le démentir, de le décevoir, j'avais l'impression de passer directement du statut de nouvelle recrue à celui d'habitué de la maison. Cela dura deux ou trois semaines, un mois peut-être, jusqu'à ce que dans une conversation de groupe, quelqu'un s'en étonne et dise à Philippe qu'il me prenait pour quelqu'un d'autre. Il était un peu vexé, un peu fâché aussi. Je l'ignorais alors, mais quand Paul Simon rencontra Pierre Boulez, celui-ci l'appela Al pendant toute la soirée sans que le chanteur n'ose le reprendre. Il en fit plus tard une très belle chanson et n'a sûrement pas regretté d'avoir usurpé l'identité de cet inconnu(e) qui somnole en nous.