vendredi 19 janvier 2018

Samedi dernier, dans le demi-sommeil du matin, je rêvais, à demi, des Moody Blues. Je revoyais Denny Laine, les premiers succès en 1965-66 : Go now, Bye bye bird, Stop, et puis Mike Pinder et aussi Justin Hayward, qui a écrit et composé Nights in white satin. Mais impossible de retrouver le nom du grand brun à moustaches, que l'on remarquait souvent en premier sur les photos, peut-être à cause de ce look atypique. Puis plus rien, jusqu'au soir. Et dans le trombinoscope de On N'est Pas Couchés, je remarque la photo n&b d'un inconnu. Vu la photo et vu le noir et le blanc, un homme des années 60. C'était Ray Thomas, le chanteur flutiste des Maudits Blues, décédé quelques jours plus tôt. Alors j'ai cherché le lien, le fil qui m'aurait relié à lui alors que j'ignorais ce sort funeste. En vain. Rien. Ni journal, ni internet, TV, radio ou bouche à oreille. Juste le pouvoir du rêve :.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire