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samedi 26 juin 2021

Après la fermeture au public du championnat de France en mars de l'année dernière, j'ai imaginé un moyen de pratiquer un basket "domestique", le lancer franc d'éponge. C'est un dérivatif, un pis-aller mais c'est mieux que rien. La ligne de lancer franc est matérialisée par le bord de la table de cuisine, la raquette par la plage derrière l'évier, un triangle de 95 x 45cm. Dans la raquette, quatre paniers-récipients : un porte-savon, un petit vase pour la brosse à vaisselle, un seau à champagne Canard-Duchêne (aluminium) plein de bouchons PVC et une verrine vide. La distance est de 5,10m.
Détail des points pour chaque cas de figure :
- évier + bords d'évier = 0 (air ball)
- raquette (triangle) = 0
- seau champagne = 1
- porte-savon = 3
- verrine = 3
- vase = 5
- paroi entre 2 bacs = 10
 
Super bonus (éponge retombée  
sur petite tranche) :
- évier = 13
- raquette = 18
- bords d'évier = 28
- paroi entre 2 bacs = 35
 
Bonus (éponge retombée
 sur grande tranche) :
- évier = 9
- raquette = 16
- bords d'évier = 20
- paroi entre 2 bacs = 30

samedi 19 juin 2021

Pierre-Hugues Herbert et Nicolas Mahut font la paire.

Bravo pour votre deuxième titre à Roland Garros.

Vous m'avez fait un plaisir immense. Merci !

mercredi 9 juin 2021

Alors maintenant, quand un joueur se jette sur le meneur adverse et met les deux mains sur le ballon, l'arbitre se réserve la possibilité de siffler entre-deux et non pas faute. Même à 10 secondes de la fin du match et alors que la volonté d'envoyer l'adversaire sur la ligne de lancer-franc est évidente, revendiquée. C'est bon à savoir. Un point reste à élucider : est-ce une expérimentation ou une recommandation de la Ligue Nationale de Basket ou juste une initiative prise par un arbitre frustré en quête de reconnaissance professionnelle ou d'exposition médiatique ? À voir.

mardi 8 juin 2021

Voir Rafael Nadal sur un court à Roland-Garros est un régal pour les yeux et pour le moral. Pour tous les amoureux de la petite balle jaune, il élève le tennis au niveau de l'art. Ce n'est plus un jeu qui consiste à se renvoyer violemment la balle par dessus un filet, c'est une chorégraphie sur terre battue. Et pour tous les spectateurs qui souffrent de tics et/ou de tocs - j'en suis - regarder le protocole maniaque qui précède chaque service est un soulagement. On se dit qu'on n'est pas seuls au monde. Merci Rafa, tu es des nôtres !

mercredi 2 juin 2021

La Fédération Française de Tennis a annulé la rencontre Tsonga-Gaston qui devait se disputer lors du premier tour du tournoi de Roland-Garros 2021. La raison invoquée est qu'un match d'un tournoi du circuit ATP ne peut opposer un joueur à lui-même. Le joueur français déplore cette décision. Il conteste toute manipulation patronymique ou manœuvre antisportive de sa part et demande un match Hugo/Jo-Wilfried au-dessus de tout soupçon.

mercredi 16 décembre 2020

Jeeding Spalp

jeudi 8 octobre 2020

Un Gaston qui fait très peu de gaffes, un Argentin avec un patronyme allemand, Schwartzman au visage pâle, un italien de 19 ans qui ressemble à un viking irlandais, sans oublier T'est-ce t'y s'passe, un éphèbe grec "à la Ilie Nastase"... un vent nouveau souffle sur ce Roland Garros 2020 qui ne ressemble à rien de répertorié... de la froidure, de la réverbération, des matches qui finissent à 2h du matin... ça tombe à pic, le directeur du tournoi a eu le nez creux en commandant ce toit ouvrant sur le court Philippe-Chatrier.

jeudi 24 septembre 2020

1955-56 / En attendant Just, Roger, Dominique, Lucien, etc.

vendredi 11 septembre 2020

Assistance clairsemée et bon enfant mercredi soir pour le retour du public (masqué) à Pierre-Coulon. Un match un peu fou. Jusqu'à la moitié du QT4, l'écart a varié entre 1 et 4 points, avec de nombreuses égalités. Autour de la 36ème minute, le tableau affichait pour la première fois un écart significatif 84-76, puis 91-80 deux minutes plus tard. C'est là qu'on a entrevu la possibilité d'une victoire face à une belle équipe de Saint-Vallier, vaillante, brillante avec Pellin, Suka-Umu, Tortosa, j'en passe et des tout aussi bons.
Côté thermal, on distingue aisément deux groupes, les anciens et les nouveaux.
Parmi les anciens, le rendement est faiblard. Bronchard à la peine, surtout physiquement, Denave peu affûté, sa patte gauche encore un peu... gauche. Seuls les pivots tiennent leur rang, Mo Koné vieux renard à qui on ne la fait pas et Serge Mourtala en progrès, qui monte en puissance, un félin filiforme oui, mais un grand chat qui peut griffer, preuve cette claquette rageuse sur un shoot d'Aboudou qui avait pris l'arceau.
Alors Aboudou justement, il m'a fait bonne impression. J'ai retrouvé le joueur volontaire du mois de mars qui, à peine arrivé, se jetait dans le combat, allant parfois un peu trop loin... dans ses commentaires adressés aux arbitres. Hier soir, il s'est bien tenu.
Concernant les nouveaux, c'est la bonne surprise; une bonne cuvée à mon avis, mais bien sûr il est trop tôt pour se faire une idée précise de son potentiel.
Les quatre recrues ont brillé pour leur première, à des degrés différents.
En Ceci-Diop j'ai vu un roc sur lequel l'équipe va s'appuyer. On le verra vite.
Johan Lofberg est une fine gâchette mais pas seulement, capable de rivaliser d'adresse avec un Denave des grands soirs. Plus jeune, plus frais physiquement et moins irritable que notre cher David. On verra si j'ai raison ou si je prends mes rêves pour une réalité.
Batemon, un petit meneur monté sur ressorts, une pile électrique, un poulain qui détale au nez et à la barbe de la défense adverse, qui était dissuasive hier soir. Un bon shoot à 7m, un drive louvoyant, classique mais efficace, une morphologie et une vision du jeu qui rappelle celle de Dustin Ware. Va remplacer avantageusement Arthur Rozenfeld.
Mais alors que dire de Samir Gbetkom Bikantchou (comment va-t-on l'appeler?) Teigneux en défense et en contre comme l'étaient El Amrani et Bengaber, rapide comme l'éclair (remember N'Gouama), prenant des tampons mais sans en être ni affecté, ni amoindri (n'est-ce pas Arthur?), etc, etc... je pense qu'il va en surprendre plus d'un. C'est une perle, un petit diamant à tailler doucement. Pourquoi ne l'ont-ils pas gardé à Gries ? Mystère.
Voilà, c'était Droopy Goldman, en léger différé du Palais des Sports Pierre-Coulon, à vous les studios de Cassis Lejay Lagoute !
P.S. j'ai oublié de dire un mot de la prestation de Mamadou Guissé, 18 ans, sorti du banc, et qui a dû jouer 3 minutes la saison dernière. À l'évidence, en gros progrès. À suivre.

mardi 5 mai 2020

Le sphinx. C'est comme ça qu'on l'appelait à Saint-Étienne. Cette belle chevelure rousse, crépue, dénotait complètement dans les années 60, peuplées de sportifs aux cheveux courts, bien dégagé derrière les oreilles. Par la suite, son volume capillaire a prospéré, jusqu'à tendre vers la coupe afro de Billy Preston, le bon génie des Beatles en fin de parcours, fidèle serviteur des Rolling Stones au sommet de leur gloire, mort à 60 ans. Aujourd'hui c'est Robert Herbin, un grand artiste du foot hexagonal. Il a contribué à jeter les ponts entre l'ère Kopa-Fontaine1958 et Platini-Zidane. Nous, baby boomers joueurs de foot du jeudi après-midi, ne l'oublierons pas.

lundi 9 mars 2020

Stat "essentielle" : Après les matchs de samedi, il y a eu 12.570.067 points inscrits en saison régulière dans l'histoire de la NBA. C'est vrai que cela ne sert pas à grand chose de le savoir, mais avouez que vous ne trouverez cela nulle par ailleurs.       © Redarmy41

mercredi 4 mars 2020


L'entrainement d'un triathlète est monacal

et les meilleurs basketteurs sont à Monaco

mercredi 4 décembre 2019


Bravo l'Hermine !

mardi 3 décembre 2019

Ce soir c'est l'avant-dernière marche. Nantes Basket Hermine reçoit la JAVCM pour une place en finale de la Leaders Cup Pro B. Ces Nantais sont à surveiller comme le lait sur le feu, on l'a vu au match aller. L'ailier fort René Rougeau, pur yankee comme son nom ne l'indique pas, Terry Smith, ressortissant des États-Unis d'Arménie, Gary Chathuant, Abdel Kader Sylla, etc. Avantage à l'Hermine qui a gagné 70-71 à Vichy. Que le meilleur gagne !

jeudi 12 septembre 2019


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USA 79 - France 89


                                   Mission Amérique du Nord bouclée


Direction Amérique du Sud

lundi 10 juin 2019

Calvitie naissante pour Rafael Nadal. Au sommet de son crâne seulement, car au sommet de la hiérarchie mondiale sur terre battue, ça ne s'éclaircit pas beaucoup. Rafa tient toute la place, les autres font des pieds et des mains pour ne pas mordre le sol pulvérulent. Another one bites the dust ><

jeudi 6 juin 2019

Chers maniaques de tout poil et de tous pays, dont je fais partie, votre, notre état n'est peut-être pas désespéré. Regardez un match de Rafael Nadal et tous vos tics, vos tocs et autres gestes rituels ou automatismes non débrayables vous sembleront moins graves. Devant la chaise du pibe de Mallorca, observez bien le positionnement des bouteilles, leur remplissage, la distance entre chaque bouteille et la figure géométrique formée par celles-ci. Rafa a tout chorégraphié de main de maître. Il débouche, rebouche et replace chaque flacon à sa place exacte, après l'avoir délesté d'un volume précis de boisson énergisante, à des intervalles de temps prédéterminés, l'étiquette toujours orientée vers le même point cardinal. Et là je ne vous parle que du ballet des bouteilles, il y en a bien d'autres. Je pense que ces comportements compulsifs participent grandement à faire de Raf un joueur de tennis quasiment invincible.

dimanche 2 juin 2019


DURUS
LUDUS
SED LUDUS

mercredi 2 janvier 2019

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Nom : Zengotitabengoa

Prénom : Asier

Nationalité : espagnole

Club : Gries Oberhoffen

Matchs joués : 12

Lancers francs tentés   : 30

Lancers francs réussis : 30

Señor 100% !!

mardi 24 juillet 2018

Après avoir cousu en 1982 la troisième étoile sur leur maillot, les Azzurri durent attendre 2006 pour décrocher la quatrième. En face, les Bleus de Zinedine Zinade. Grosse affaire. Flashback : le 3 juillet 1998 au Stade de France, Di Biagio catapultait son tir au but sur la transversale de Barthez et par la même occasion, les Français en demi-finale. Pire, deux ans plus tard en finale de l'Euro, David Trezeguet ôtait des mains italiennes la coupe de champagne qu'ils portaient - prématurément, imprudemment - à leurs lèvres. C'est dire l'esprit qui présidait à cette finale du Mondial 2006. Ce 9 juillet à Berlin, les forces en présence se neutralisent. Tout va se jouer sur un coup de dés, ou plutôt un coup de boule. MateraZZi est l'homme du match. Il provoque le penalty sur Malouda, transformé par ZZ. Puis il marque le but italien. Enfin, il parle, mal, mais pas à l'arbitre, au meilleur joueur adverse et du monde by the way. Ce comportement n'étant pas répréhensible, il contraint ainsi son adversaire à sortir de son match. Exit Zidane. Sans lui, ça va être plus facile, se dit Marco. La fin du match lui donne raison. Ironie du sort, lors de la séance de TAB, c'est Trezeguet, star de la Juve, qui fracasse la barre et les derniers espoirs français. Glorieuse hein certitude dello sport. Les Italiens sont champions. Azzuri, Bleus, la même couleur??