samedi 28 juillet 2018

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jeudi 26 juillet 2018

MNÉMOTECHNIQUE POUR TOUS  (19)

Boulabilité       :  faculté de faire des boules (de glace)
Boulettophilie  :  forme de malchance congénitale aiguë
Gastonite        :  ancien nom du syndrome d'Asperger
Pignonism    propension à attirer les catastrophes
Benallabilité    :  propension à péter + haut que son QI

mardi 24 juillet 2018

Après avoir cousu en 1982 la troisième étoile sur leur maillot, les Azzurri durent attendre 2006 pour décrocher la quatrième. En face, les Bleus de Zinedine Zinade. Grosse affaire. Flashback : le 3 juillet 1998 au Stade de France, Di Biagio catapultait son tir au but sur la transversale de Barthez et par la même occasion, les Français en demi-finale. Pire, deux ans plus tard en finale de l'Euro, David Trezeguet ôtait des mains italiennes la coupe de champagne qu'ils portaient - prématurément, imprudemment - à leurs lèvres. C'est dire l'esprit qui présidait à cette finale du Mondial 2006. Ce 9 juillet à Berlin, les forces en présence se neutralisent. Tout va se jouer sur un coup de dés, ou plutôt un coup de boule. MateraZZi est l'homme du match. Il provoque le penalty sur Malouda, transformé par ZZ. Puis il marque le but italien. Enfin, il parle, mal, mais pas à l'arbitre, au meilleur joueur adverse et du monde by the way. Ce comportement n'étant pas répréhensible, il contraint ainsi son adversaire à sortir de son match. Exit Zidane. Sans lui, ça va être plus facile, se dit Marco. La fin du match lui donne raison. Ironie du sort, lors de la séance de TAB, c'est Trezeguet, star de la Juve, qui fracasse la barre et les derniers espoirs français. Glorieuse hein certitude dello sport. Les Italiens sont champions. Azzuri, Bleus, la même couleur??

dimanche 22 juillet 2018

Aussi loin que ma mémoire darde son œil de verre dépoli, je m'aperçois que j'ai autant de bons souvenirs avec le football italien qu'avec le foot français. Dans les années 50 et 60, Raymond Kopa, Fontaine bien sûr, oui mais Piantoni, Colonna, la Corse, la grande bleue. Et puis n'appelait-on pas Fontaine Justo et non Just ? Plus tard Michel Platini est arrivé, encore un avec un grand-père italien. Entre Justo et Platoche, il y eut le mondial 1970. Au lycée, ils ne juraient que par Pelé, Jairzinho, Rivelino. C'est à peine si j'osais (pré)dire qu'en finale, il y aurait du monde en face avec Riva, Rivera, Prati, etc. Le sacre brésilien me fit perdre la face. 4-1, je trouvais qu'une telle fessée était disproportionnée. Depuis bien sûr, j'ai appris à apprécier la diversité du génie peléien, mais mon penchant pour les artistes italiens du ballon se maintint durant les 70's. Il faut dire qu'ils ne croisèrent que rarement le chemin de l'équipe de France. En 1982, ils prirent leur revanche en privant le Brésil de demi-finale, 3 buts de Rossi, net et sans bavure. Mais cette finale Italie-France que nous appelions tous de nos vœux fut enterrée par Herr Schumacher et ses teutons flingueurs. Hélas, j'aurais tant voulu voir Platini et les siens défier ces fiers transalpins. Le cinglant 3-1 infligé par les Azzurri aux Allemands me mit du baume au cœur. Arrivederci !

vendredi 20 juillet 2018


/\  TAKASHI





O





MURAKAMI  \/

mercredi 18 juillet 2018

FRAGMENTS D'UN MANIFESTE CANIN (94)

lundi 16 juillet 2018

Depuis 1930, la Coupe du Monde de Football se joue tous les quatre ans, sauf en cas de guerre mondiale, et maintenant, parfois, à la fin, c'est l'équipe de France qui gagne le titre.

dimanche 15 juillet 2018

MNÉMOTECHNIQUE POUR TOUS  (18)

Ian-Patrick           :  né le 15 juillet 1945
Johnny Thunders :  né le 15 juillet 1952
Ian Curtis            né le 15 juillet 1956
Vincent Lindon    :  né le 15 juillet 1959

samedi 14 juillet 2018

MNÉMOTECHNIQUE POUR TOUS  (17)

Grandaddy          :  né le 14 juillet 1889
Woody Guthrie    :  né le 14 juillet 1912
Ingmar Bergman  :  né le 14 juillet 1918
Lino Ventura        :  né le 14 juillet 1919
Paul Crauchet      :  né le 14 juillet 1920
Marcel Gotlib       :  né le 14 juillet 1934
Zach Moss          :  né le 14 juillet 1981

jeudi 12 juillet 2018

LAST NIGHT  ENGLAND

WAS NOT BORN IN

A CROSSFIRE

HARRY KANE
Si la royauté est de retour avec Macron 1er, j'y vois un avantage, c'est qu'on ne manque pas de bouffons. Dans le genre trésors de nos campagnes, Christian Jacob est parfait. Il a le verbe déconcertant de mauvaise foi et le regard terne de consanguinité. Il ne lui manque que le bonnet avec les pompons qui se balancent gaiement au dessus de son front altier.

mardi 10 juillet 2018

FRANCE  -  BELGIQUE

LE JEU DE L'EDEN

ET DU HAZARD

dimanche 8 juillet 2018

the end of the game
the end of the game

vendredi 6 juillet 2018

LIBERTÉ ÉGALITÉ SORORITÉ (14)

Aussi vrai que Tom Petty est l'un des plus grands, aussi grand que Ray Manzarek, John Fogerty ou Johnny Thunders, aussi vrai que INTO THE GREAT WIDE OPEN et ECHO sont deux grosses pépites, aussi vrai que Gérard Blain a été le premier mari de Bernadette Lafont, aussi vrai qu'il fut un grandiose M.Minot dans L'ami américain de Wim Wenders, celui qui convainc Bruno Ganz de basculer dans le crime presque parfait pour soigner sa leucémie, aussi vrai que B.Ganz incarne Jonathan Zimmermann, un encadreur fan des Kinks et non de Bob Dylan, aussi vrai qu'à la fin du film, quand sa raison chavire au volant de sa coccinelle - a red Beetle - il fredonne "baby you can drive my car", aussi vrai que Beggar's Banquet est un festin de frugalité, à commencer par Sympathy for the devil, aussi vrai que Mick Jagger a calqué son Let's drink to the salt of the earth sur le Let's all drink to the death of a clown de Dave Davies, mais ça doit être une sorte de private joke entre le cadet des frères Davies et l'ainé des frères Jagger, aussi vrai que lorsque j'écoute No more, la douzième chanson sur ECHO de Tom Petty, j'entends l'écho d'un vers de Salt of the earth : a swirling mass of grey and black and white, c'est fou, on croit avoir avancé mais on a juste tourné en rond sans s'en apercevoir, et on se retrouve au point de départ.

mercredi 4 juillet 2018

lundi 2 juillet 2018

samedi 30 juin 2018

Après la transe, le malaise et les doigts d'honneur, que nous réserve Diego Maradona si l'Argentine gagne son 1/8ème de finale contre la France cet après-midi ? Un tour de terrain nu comme un (gros) vers, une galoche à Mascherano ? Et... si les Albiceleste perdent ? Un seau d'eau sur l'arbitre, un drapeau déchiré, un pistolet sur la tempe ? Tout peut arriver, c'est ça qui est bien avec El Pibe de oro.

jeudi 28 juin 2018

MNÉMOTECHNIQUE POUR TOUS  (16)

Daniel Russ   :  acteur français, Paris 1948
Patrick Bosso  :  acteur français, Marseille 1962
Bruno Solo       acteur français, Paris 1964

mardi 26 juin 2018

DESTINATION FAB (4)

Quand Ringo a envie de faire une petite tournée, il décroche son téléphone. À chaque fois, son All Starr Band est différent. En 1989, le premier comprenait Billy Preston, Clarence Clemons, Rick Danko, Joe Walsh, Nils Lofgren. Au fil des ans, des dizaines de pointures ont répondu yes à son invitation. John Entwhistle, Gary Brooker, Jack Bruce, Ian Hunter, Gary Wright, etc, etc. Le 6 juin, il était sur la scène de l'Olympia pour un soir seulement. Gregg Rolie étant de la fête, qui d'autre pour se faire un petit Evil ways entre potes, et même Black Magic Woman pendant qu'on y est ? Oui bien sûr, Peter Green. Mais ça c'est dans vos rêves. On est en 2018, le monde a changé. Malgré tout, certaines choses font encore partie du réel. Un Beatle jouant live une chanson de Sergent Pepper ou de The Beatles, c'est pas commun, mais c'est dans le domaine du possible. Paul peut le faire. Ringo aussi. On a donc eu droit à notre Don't pass me by et à notre With a little help from my friends. C'est lui qui a écrit la première et c'est lui qui chante les deux, mais elles sont à nous. Nous, the faceless crowd, les avons fait vivre. Et à la fin, qui pour revêtir le costume blanc de John Lennon et entonner Give peace a chance ? Pas grand monde à part Ringo. Sûr qu'il a écrit moins de hits que John, mais il n'en est pas moins pacifiste.

dimanche 24 juin 2018

vendredi 22 juin 2018

mercredi 20 juin 2018


Depuis lundi 18 juin, l'Italie est le troisième lectorat du journal

Elle dépasse l'Allemagne, la Russie et toutes mes espérances

Grazie mille per la vostra attenzione, fratelli e sorelle dell' Italia !!

lundi 18 juin 2018

DESTINATION FAB (3)

Du temps où les Fab Four étaient au Four et au Cavern, je ne faisais pas vocalement la distinction entre John et Paul. Sans doute à cause de cette signature Lennon-McCartney. Ce n'est qu'après leur séparation que mon oreille a commencé à faire la différence, de timbre, d'attaque, de phrasé. Dans les années 80, je me suis surpris (pourquoi choisir entre deux êtres chers?) à pencher du côté cartneyien de la fanfare du sergent Poivre. Et je me suis lentement éloigné de son orbite lennonesque. Quand je pensais Beatles, je voyais Paul et quand je pensais activisme, pacifisme, je voyais John. Le point cardinal dans cette course d'orientation musicale est à chercher du côté des années 2000. C'est là que PMC a fait ses meilleurs enregistrements. Personne ne le souligne, mais avec Chaos and Creation, Memory Almost Full, Electric Arguments, New, il délaisse son rôle de légende vivante, mélodiste surdoué ayant écrit When I'm sixty-four à vingt-quatre ans, et entre dans le cercle restreint des grands - et purs - musiciens. N’importe lequel de ces disques renvoie Ram, Band on the run et autres Wings à leur chère zénitude. Depuis New en 2013, rien de nouveau. Mais Paul a toujours les idées claires. Le 9 juin, il jouait au débotté dans un pub old fashionned de Liverpool devant un auditoire médusé, mais réduit.

Happy birthday, my dear Paul !

samedi 16 juin 2018

jeudi 14 juin 2018



Feliz cumpleaños Ernesto !

mardi 12 juin 2018


 I AM 

Inverse des

Aiguilles d'une Montre

dimanche 10 juin 2018

DESTINATION FAB (2)

La fin de siècle s'écoula cahin-caha. Les disques tenaient de plus en plus de place dans mon intérieur, inversement les concerts intéressants étaient de plus en plus espacés. Dans mon esprit, et dans mon cœur, les Beatles ne rivalisaient plus avec aucun autre groupe. Ils étaient sortis du jeu. La mort de John avait délié quelques langues, mais plus j'en apprenais sur eux, plus ils m'étaient chers. Le rebelle, musicien myope mais militant, self made miracle man, était passé de l'autre côté du mouroir. Il était devenu un de mes proches, un membre de ma famille. Cet attachement s'étendait évidemment aux vivants, et je restais attentif aux faits et gestes des autres Fab. George se faisait de plus en plus discret dans les médias (ça, on en avait pris l'habitude), mais aussi dans sa production musicale. Je me souviens de Got my mind set on you, et puis des Traveling Wilburys avec Bob Dylan et Tom Petty, et puis plus rien. À la fin des années 90, les nouvelles n'étaient pas bonnes, et un jour de novembre 2001 on a appris que George était mort. Dix ans plus tard, le film de Martin Scorsese, Living in the material world, a levé une partie du voile. Cette nuit de décembre 99 à Friar Park, les coups de couteau, encore un schizophrène. J'ai revu John rentrant chez lui, une nuit, au Dakota Building. La tristesse a été ravivée.

vendredi 8 juin 2018

mercredi 6 juin 2018

En juin, fais ce qui te convient :
Aujourd'hui 6 juin, Ringo Starr & his All Starr Band à l'Olympia
Demain 7 juin, réception d'un 45t à pochette rouge synonyme de fin de cycle
Courant juin, selon toute attente, le lectorat italien du journal passera en 3ème position

mardi 5 juin 2018

Bravo Marco Cecchinato pour cette magnifique victoire en 1/4 de finale de Roland-Garros contre Djokovic. Prochain défi, passer l'obstacle Thiem. C'est faisable, il a prénom en ic !

lundi 4 juin 2018

samedi 2 juin 2018

DESTINATION FAB (1)

Quand les Fab Four décidèrent en août 1966 que le concert du Candlestick Park de San Francisco serait leur dernier, je n'en ai rien pensé, puisque comme 100% des fans, je ne l'ai pas su. Et quand ils se séparèrent trois ans plus tard, même punition. On nous a tout caché, on nous a rien dit. C'est au printemps 70 qu'on a pris acte du divorce, de la fin de cette long and winding road. Comme pour le grand Charles, on s'est vite résignés, en se faisant à l'idée qu'ils avaient fait leur temps. Et l'époque ne nous a pas démenti. Les années 70 furent assez riches pour nous les faire oublier. La mort de John en 1980, et en particulier ses circonstances, changea la donne. Car ce n'était pas un has-been qu'on perdait là, pas un Elvis bouffi en costume à paillettes. C'était un leader, un frère de cœur, un témoin de notre temps. Je me souviens avoir remis sur le doux plateau caoutchouté de ma platine les pommes vertes, les pommes blanches de The Beatles. Ces nouvelles gorgées de cidre étaient d'autant plus savoureuses que l'on pouvait laisser traîner les verres sur sa pochette glacée, brillante, inaltérable. Je me désaltérai à cette fontaine de jouvence. Ce disque dérobé aux Nouvelles Galeries, anciennement Bumsel, qui m'avait enivré en 1968, me dessoûlait. Et la réalité n'était pas vilaine. Elle était blanche et lisse.