lundi 21 janvier 2013

Droo P.

O.Wen

& Goldman

PRÉSENTENT

I I U N E I I

I I COLO I I

I I N N E I I

I I À L A I I

I I U N E I I

dimanche 20 janvier 2013

> Un petit verre de Lelouch ?
 - non merci
> Vivre pour vivre ?
 - non, sans façons
> La vie, l'amour, la mort ?
 - non
> L'aventure c'est l'aventure ?
 - non
> Le bon et les méchants ?
 - non
> La bonne année ?
 - non
> La belle histoire ?
 - non
> Tout ça pour ça ?
 - non
> Les uns et les autres ?
 - non
> Hommes, femmes...
 - non
> Mode d'emploi ?
 - non
> Mariage ?
 - oui, un zeste de Rufus
> ... ??
 - et une larme de Bulle Ogier !

samedi 19 janvier 2013


FAIRE DE PETITES CHOSES



                                              AVEC DE PETITS OUTILS



                                                                                        DANS UN PETIT ESPACE



                                                                                                                                POUR UN PETIT RÉSULTAT

vendredi 18 janvier 2013

FRAGMENTS D'UN MANIFESTE CANIN (8)

La politique étant l'art de prévoir et d'organiser la vie en société et ladite société - au sens où les médias l'entendent de nos jours - étant composée exclusivement d'êtres humains, il conviendrait de dissocier la notion d'idée de celle d'action. Parce que penser est abstrait. Parce que l'action ne fait pas bon ménage avec l'abstraction. Conséquemment, parler d'idéal à propos de politique est incongru. Autant parler de corde dans la maison d'un pendu. D'où l'avantage avec les chiens. Ils forment une race et non une société et le concept d'idéal leur est totalement étranger. C'est un atout énorme. Nul besoin pour eux de tirer des plans sur le commettre. Nulle préoccupation concernant le respect ou la violation d'une quelconque éthique, nulle envie de tirer les canidés vers le haut, nul rêve de tendre vers la démocratie. Pas de plus tard, ni d'avant, ni de là-bas, les chiens sont dans l'ici et maintenant. Ça fait envie, n'est-ce pas ? En sa qualité de partenaire privilégié, le Fermoir vous propose de promouvoir la condition canine. Il existe deux formules au choix :
1) L'adhésion : envoyer au journal une lettre de motivation accompagnée d'une enveloppe timbrée. Vous recevrez en retour votre carte d'adhérent UFCM ( Union des Fiertés Canines Mondialistes ). Le bulletin trimestriel vous sera adressé sous pli discret.
2) La sympathie : un bristol avec vos coordonnées suffira à vous coucher ipso facto sur la liste du SFD ( Sympathy For the Dogs ), dont le siège est à Londres ce qui explique sa dénomination anglo-saxonne. Vous serez convié aux manifestations de votre région et bénéficierez d'avantages substantiels lors de la convention nationale qui se tient chaque année en septembre au Champ de Mars à Paris (7ème).

jeudi 17 janvier 2013

On a reçu ça hier :
                                                            
             
      
          G.oogle/Mail

          

        La direction de contrôle G.oogle/Mail informe son aimable clientéle que
        des opérations de maintenance sciblées sur l'ensemble du réseau sont
        actuellement en court. Ces opérations ont pour but d'identifuer chacun
        de nos utilisateurs en vue de déterminer les comptes actifs et inactifs
        afin de procéder à la suppression de tous les contes dormants. Surtout
        ne vous méfinquiétez pas car avec la demande croissante d'utilisateurs
        nous avons le devoir de mieux informations ci-dessous. En cas de refus
        votre c/ompte sera désactivé pour des raisons de sécurités.

        + => NOm &-PrenΘm

        + => Datte.de.naissance
        + => Connexion G.mail
        + => Πot de Passe
        + => ConfirmatiΘn Πot de Passe
        + => Compte Secours
        + => Mot de PΔs'se
        + => FonctiΘn
        + => Mobile
        + => PΔΨs
  
        L'equipe G.mail 

      

       

mercredi 16 janvier 2013


Échelle et fenêtres, 2008                                                      Ladder and windows, 2008

mardi 15 janvier 2013


Musique pour Escalator, par Philippe Flesch et Droopy Goldman
[ broché 18,5 x 18,5 - 68 pages ]

Prix unique [ monde entier ] : 12 euros [ port compris ]
par correspondance uniquement

Pour la France : paiement par chèque à Claude Parisse
6 rue du Clos de Dursat  03200 Le Vernet

Pour l'Europe, l'Afrique, l'Amérique, l'Asie et l'Océanie :
paiement par Paypal à l'adresse suivante : crrparisse@gmail.com



          
                                           
Musique pour Escalator



          Prenez  l'escalator et laissez- vous guider dans le Grand Bazar de la Musique
          Pop  Rock de la fin du XX ème siècle, de Bob Dylan à Joe Strummer, de King
          Crimson à Johnny Thunders, en passant par les Fugs et Roxy Music. <><><
          Vous n'avez rien à faire, si ce n'est faire attention à poser le pied bien à ><><
          plat sur la première marche. Après, ça monte tout seul. Si vous allez trop ><
          haut, ou si vous  vous attardez, prenez garde de ne pas vous laisser enfermer
          dans le magasin. Le cas échéant, munissez-vous d'une lampe de poche pour
          trouver le rayon literie, car de minuit à six heures, tout est dans le noir. ><>< 

 
                                                                        

lundi 14 janvier 2013

Le rock américain dans les années 90, c'est pas la corne d'abondance. Les groupes ne giclent pas des clubs pour recracher les hits sur le vinyle ou sur les CD comme des noyaux de cerise. Michael Jackson est dans les cordes, Springsteen prend du bide, l'étoile de Prince a pâli et le falsetto de George Michael n'opère plus comme lors du concert Free Nelson Mandela à Wembley en 1988 quand il médusa l'assemblée avec son ahurissante version a cappella de Village Ghetto Land. Pour enfoncer le clou, en avril 1994 Kurt Cobain tire sa révérence à Seattle. Un break de trois jours avec une balle dans la tête. Pas de sang sur les murs, juste de l'encre sur une lettre. La West Coast est sous le choc. 700 miles plus au sud, dans la baie de San Francisco, quatre garçons rêvent de remplir le vide laissé par le retrait anticipé de Cobain. Ils sont encore un peu Kurt, mais trois ans plus tard paraît un CD estampillé 3 be, deux lettres et un chiffre pour Third eye blind. Quatorze titres sur deux colonnes, au dos de la pochette à la main sur le visage en tentacule d'Alien. Bon alors, des disques qui émargent à 80 % de réussite, ou à 70 %, faut oublier, on n'est plus dans les années 60 ! Néanmoins, comme disait le pilote qui s'était fait rati- boiser l'appendice nasal en lançant son hélice à la main, cet Aveugle du Troisième Œil a de beaux restes. Un disque de haut vol, d'un noir brillant, doté d'un son qui réaffirme que le rock c'est avant tout un gros boucan illuminé d'arcs électriques, de même que l'homme et la femme ne seraient qu'amas de chairs pantelantes s'ils n'étaient rendus présentables par ce concept génial que sont les os. Ma sélection : en face 1, Losing a whole year, NarcolepsyThanks a lot ; en face 2, Burning man, Good for you, London et God of wine. Mention spéciale à Narcolepsy pour avoir ramassé le gant de velours devant l'entrée du souterrain, à London qui revisite la vieille querelle New York / London (cf. Johnny Thunders vs Johnny Rotten), mais surtout à Burning man* et God of wine, une génération spontanée qui ne doit rien à personne.
Narcolepsy/3eOJQe?src=5

* voir notre article du 8 avril 2012

dimanche 13 janvier 2013

Les hommes politiques sont des spécialistes des questions générales.
Charles de Gaulle

samedi 12 janvier 2013


left to right : the nice and gentle, the mystic, the modest, the rebel with a cause
ZONE                                                                                                                                                       DÉDIÉE






AU





VIDE                                                                                                                                                 TECHNIQUE

vendredi 11 janvier 2013


ELLE EST                            ABONNÉE À                            MARIE CLAIRE                            DANS L' NOUVEL








OBS' ELLE                              NE LIT QUE                              BRÉTECHER                              LE MONDE Y A








LONGTEMPS                            QU'ELLE FAIT                           PLUS SEMBLANT                            ELLE ACH








ÈTE MATCH                            EN CACHETTE                           C'EST BIEN                            PLUS MARRANT


Femme+Lib+r+e/4l6ue5?src=5

jeudi 10 janvier 2013

Dans l'immédiat après-mai 68, Marx était un sujet de conversation parmi la population lycéenne et estudiantine. Je parle de Karl Marx, pas de Groucho, Harpo ou Chico, qui ont eu eux aussi leur heure de gloire, mais pas pour les mêmes raisons. N'ayant rien lu ni appris de lui - Karl - je me contentais d'écouter Gérard synthétiser Das Kapital. Gérard avait un don pour décrire la société, la politique, l'économie. La preuve, c'est que quarante ans plus tard, j'en ai retenu l'essentiel [ du Kapital ]. En fait une seule phrase. Je la cite de mémoire : Le salaire représente la somme nécessaire au prolétaire pour reproduire sa force de travail. Si cette phrase m'est restée en mémoire, intacte, inaltérable, c'est surtout pour l'interrogation, l'incompréhension qu'elle provoqua dans mon esprit. Au début des années 70, la société de consommation était encore dans un âge d'or qui faisait de chacun un jouisseur en puissance. Tout était sinon offert, du moins promis et l'une des clés de cette jouissance sans frein était l'argent. Plus exactement, l'argent destiné aux consommables non alimentaires, aux loisirs, au superflu. Donc apprendre de la bouche de Gérard qu'un siècle plus tôt, Karl avait théorisé le capitalisme en ces termes me laissait coi. J'en suis vite revenu. Beaucoup d'eau a coulé depuis sous les ponts du monde entier et ce foutu salaire tend à reprendre aujourd'hui une partie de la place, une partie de l'assiette qu'il occupait en 1850.

mercredi 9 janvier 2013

ÊTRE                 ET



                     AVOIR            ÉTÉ



                                                  OU            AVOIR



                                                                              ÉTÉ          EU ?

mardi 8 janvier 2013


































... débranche !

lundi 7 janvier 2013


WALL OF LIFE


the train’s a screechin’
in slo-ho-how mo-ho-shun
from an ear to the other
and the TOTAL refinery
smells bad in the wind
of its whole self property
Van the dog is deeply crazy
with that pink glossy tongue
he wants always something to eat
and when he got nothing
he eats his broken leg and
keeps the other one for tomorrow

   and what is this, man ?
   it’s the martegal african
   wall of life, man !
   you got to climb
   and see what’s behind
   the martegal african wolof life

D.J. Bril likes barbecues on the beach
with Roxanne, Samir, Sandra and more
but sometimes he got no charcoal
no bitter sauce for the sausages
and he’s looking for a free car
with driver if it’s possible
Puppah Guy he likes boats and planes
and some "lait caillé" for breakfast
he has a sunny smile on his face
but wears his tan around his lungs
for sure he’s the best "sender-to-sleep"
for little girl in the Berre Sea Area

   and what is this, man ?
   it’s the martegal african
   wall of life, man !
   you got to climb
   and see what’s behind
   the martegal african wolof life

Mouna is nobody’s Yuna but her’s
she plays a mean keyboard over the PC
with her hands full of slim nimble fingers
at last you can see an instant sparkle
glowing in her eye that makes
faraway stars gloomy shades of pale
Alex he got cholesterol since he met
his french fine cooking wife but
he’s some kind of washing machine wizard
and Xavier he would like to kill someone
in this bloody worldwide soda business
before going to Nantes in five years

   and what is this, man ?
   it’s the martegal african
   wall of life, man !
   you got to climb
   and see what’s behind
   the martegal african wolof life

DERRIÈRE LE MUR


Le train crisse
au ra-ha-len-hen-ti-hii
entre vos deux oreilles
le vent fouette l’odeur
et la bannière étiolée
de la raffinerie TOTAL
le chien Van est tout fou
il veut toujours manger
et tire sa belle langue rose
et quand il n’a rien de mieux
il mange sa patte cassée
et garde l’autre pour demain

   Et c’est quoi ça, man ?
   c’est l’Afrique à Martigues
   le mur de la vie, man !
   tu peux grimper
   et regarder derrière le mur
   de la wolof-africa

Djibril aime les barbecues sur la plage
avec Roxanne, Samir, Sandra et les autres
mais il n'a pas de charbon de bois
ni de sauce piquante pour les saucisses
et il voudrait bien une voiture
avec chauffeur si possible
not’Guy aime les bateaux et les avions
et le lait caillé au petit déjeuner
il arbore toujours un sourire radieux
mais ce sont ses poumons qui sont hâlés
à coup sûr il est le meilleur endormisseur
de petite fille de tout l’étang de Berre

   Et c'est quoi ça, man ?
   c’est l’Afrique à Martigues
   le mur de la vie, man !
   tu peux grimper
   et regarder derrière le mur
   de la wolof-africa

Mouna n’y est pour personne car elle
s’appelle Yuna, elle tricote sur le clavier
de son PC avec ses doigts de fée
de ses yeux jaillit une étincelle
qui fait de l’ombre
aux plus brillantes étoiles
Alex a du cholestérol depuis qu’il a épousé
une française qui est un vrai cordon bleu
mais c’est un magicien de la machine à laver
et Xavier il a envie de tuer quelqu’un
dans ce monde pourri du commerce du soda
il ne tiendra pas cinq ans avant de partir à Nantes

   Et c’est quoi ça, man ?
   c’est l’Afrique à Martigues
   le mur de la vie, man !
   tu peux grimper
   et regarder derrière le mur
   de la wolof-africa

dimanche 6 janvier 2013

Bonjour c'est Droopy Goldman... dans mon Tah Rah Tah Tah Ah M'wouah, je voudrais réécouter Roger Hodgson dans The logical song... parce que les meilleures chansons ne sont pas toujours celles auxquelles on pense en premier... ah, vous avez égaré la bande ? Bon, alors à la place, je choisis Sway par les Rolling Stones... Vous n'avez pas ça non plus ?

Sway/2km3Ra?src=5

samedi 5 janvier 2013

  L'altro giorno mi trovavo sul ponte Garibaldi
> e allora ?
  allora mi sono sporto
> si...
  e i miei occhiali sono caduti nel Garigliano
> ma non è il Garigliano, è il Tibro
  sai... io senza i miei occhiali !

vendredi 4 janvier 2013

Durant l'été 68, les Rolling Stones squattent les Olympic Studios de Londres. Devant l’œil de verre de Jean-Luc Godard et sous le regard absent de Brian Jones grattant sa guitare acoustique dans son box comme un pèlerin bouddhiste tourne son moulin à prières, on assiste, non sans un petit frisson rétrospectif, au spectacle fascinant de la gestation d'une chanson. Pas n'importe quelle chanson. Sympathy for the devil. Un morceau qui rayonne sur le parcours artistique et erratique du groupe, tantôt le sortant de l'ornière, tantôt l'y replongeant, mais qui lui confère cette aura si rare qui distingue le grand maître du petit élève. Ce film [ one + one ] est sorti en 1969. Je l'ai vu en salle en 1972 ou 73, puis revu plusieurs fois à diverses occasions. On y voit un Mick Jagger perché sur son tabouret de bar, apprenti sorcier flairant l'odeur de bouillon indigeste qui s'échappe de je ne sais quelle marmite, plus un Nicky Hopkins aux ordres, passant à la demande d'un mid-tempo vitreux à un staccato inepte sur un clavier régurgitant un son d'orgue Bontempi. Que Lucifer me change en pâte à churros si je mens ! On y voit un Bill Wyman apathique plus un Keith Richard dans sa chemise bleu marine à pois blancs, vautré sur le tapis, cloué au sol, réduit à l'impuissance, à deux doigts de se noyer dans un filet d'eau saumâtre, car ce qui sort des moniteurs s'apparente plus à un résidu de caniveau qu'à une composition musicale. Et alors, me direz-vous, nous savons tout cela ! Oui, mais savez-vous qu'Eric Clapton était là, dérobé à la caméra par quelque paravent, et qu'il a participé à cette tentative de tirage du diable par la queue ? Il aurait mis ses dix doigts et ses six cordes au service de cette entreprise (S. for the D.), à l’initiative de Keith Richard. Tel est le scoop révélé par François Busnel lors de la rediffusion d'un volet de son émis- sion "Beatles vs Rolling Stones, la grande battle", le 28 décembre dernier sur France Inter. Serais-je tombé malencontreusement - et pas qu'une fois - dans une trappe du réel, ce qui m'aurait empêché d'avoir connaissance de ce fait ? Me l'aurait-on caché pour une raison que j'ignore ? L'aurais-je volontairement effacé de ma mémoire ou laissé dépérir dans les oubliettes de ma conscience ? Dernière hypothèse : les fiches confectionnées par les petites mains du service public à l'usage de FB contiendraient une coquille, le solo de "While George Harrison gently weeps" interférant avec "Boyd Patty for God devil" ?? Mystère, crossfire et hurricane ! Toute information, recoupée SVP, est la bienvenue. Contacter le journal qui publiera. Pas sérieux s'abstenir.

jeudi 3 janvier 2013

GARY OLDMAN                                                         HAS NEVER




><



BEEN CALLED                                                          A HAS-BEEN
 G.Oldman                                                                      J.Whit

mercredi 2 janvier 2013

a great big kiss for 2013 ~)(~

mardi 1 janvier 2013

SO                                  I FELT                                  LIKE                                  THE




                                                                                                 BIGGEST




ASSHOLE




                              WHEN




I KILLED                             YOUR                             ROCK                            'N ROLL


http://grooveshark.com/s/
Kill+Rock+and+Roll/3Rqcm2?src=5