lundi 8 septembre 2014

FRAGMENTS D'UN MANIFESTE CANIN (61)

nom d'un chien, il faut tordre le cou à cette légende qui veut que les rolling stones n'ont pas autorisé la diffusion du film de la bbc "the rock and roll circus" à cause des who... soit disant que l’interprétation majestueuse de "a quick one" aurait dévalué à leurs yeux leur propre performance... moi je veux bien, les sept minutes des who sont un des joyaux de la couronne du rock anglais des sixties, mais quand même... cette version de jumping jack flash* du 11 décembre 1968 est millésimée, le mariage idéal entre le beat et le flow, le ciel du rock allé avec la mer du roll... salt of the earth et parachute woman sont parfaits, ne serait-ce que parce que ce sont des chansons très peu jouées en public... you can't always get what you want et no expectations ont la fraîcheur de la jeunesse... quant à sympathy for the devil, c'est une des rares chansons qui se suffisent à elles-mêmes, même quand elles sont un peu en retrait par rapport à l'attachement qu'on leur porte, comme like a rolling stone de bob dylan, come together des beatles ou la supplique pour être enterré à la place de tonton georges... juste un petit regret, j'aurais aimé dear doctor* en plus, une des meilleures chansons de l'année 1968... je ne sais pas si ce que je dis est intelligible... par z'endroits, je ne me comprends pas... l'âge bête canin, sans doute...

* voir le 08.08.2014                                                                        * voir le 18.02.2012

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