Droopy Goldman à : Alain Souchon
3 rue de l'homme-œuf c/o Parlophone Records
59177 Lennone-sur-Helpe 118 rue du Mont-Cenis 75018 PARIS
Cher Alain Souchon,
Je vous ai vu vendredi 14 février dans Passage des Arts, l'émission animée par
Claire Chazal. Je vous admire depuis longtemps, J'ai dix ans, Poulailler's Song,
Allo maman bobo, On s'aime pas, Quand j'serai K.O, mais aussi des albums
plus récents, Écoutez d'où ma peine vient et C'est déjà ça.
C'est quand un téléspectateur vous a posé sa question, plus futile que jamais,
que j'ai pensé à Popopo. Laurent Voulzy a fait la musique, parfaite. Vous avez
écrit les paroles, dans votre veine unique. Le problème pour moi, c'est le fond.
On a dû vous en parler cent fois, mais rien ne justifie que je renonce plus
longtemps à vous poser cette question, si personnelle et universelle à la fois.
Récririez-vous aujourd'hui le même texte, avec la même description (au mieux
désobligeante, au pire diffamatoire) du caractère, des actes d'Ernesto Guevara,
de sa vie de révolutionnaire ?
Est-ce que vous n'y regarderiez pas d'un peu plus près, sans aller voir sur internet
comme vous le dites dans la chanson ? Est-ce que ce plaidoyer à charge pourrait
être nuancé, tempéré ? Georges Wolinski a un jour regretté d'avoir eu la dent
trop dure avec Ch. De Gaulle. Il avait l'air sincère. Pourriez-vous, voudriez-vous
faire de même avec la mémoire d'Ernesto ?
Voilà ce que je voulais vous dire.
Bravo et merci pour vos chansons qui ont bercé, rythmé toutes ces années.
Bonjour à Laurent Voulzy, avec qui je partage l'amour des Beatles !
Pensées amicales, rêveries musicales,
D.O.Goldman
que j'ai pensé à Popopo. Laurent Voulzy a fait la musique, parfaite. Vous avez
écrit les paroles, dans votre veine unique. Le problème pour moi, c'est le fond.
On a dû vous en parler cent fois, mais rien ne justifie que je renonce plus
longtemps à vous poser cette question, si personnelle et universelle à la fois.
Récririez-vous aujourd'hui le même texte, avec la même description (au mieux
désobligeante, au pire diffamatoire) du caractère, des actes d'Ernesto Guevara,
de sa vie de révolutionnaire ?
Est-ce que vous n'y regarderiez pas d'un peu plus près, sans aller voir sur internet
comme vous le dites dans la chanson ? Est-ce que ce plaidoyer à charge pourrait
être nuancé, tempéré ? Georges Wolinski a un jour regretté d'avoir eu la dent
trop dure avec Ch. De Gaulle. Il avait l'air sincère. Pourriez-vous, voudriez-vous
faire de même avec la mémoire d'Ernesto ?
Voilà ce que je voulais vous dire.
Bravo et merci pour vos chansons qui ont bercé, rythmé toutes ces années.
Bonjour à Laurent Voulzy, avec qui je partage l'amour des Beatles !
Pensées amicales, rêveries musicales,
D.O.Goldman
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