lundi 20 janvier 2020

Mon vieux pote Jean-Claude qui habite Saint-Louis (ou peut-être est-ce l'inverse?...), me parlait récemment d'un groupe nommé The good, The Bad & The Queen. À la manœuvre dans ce combo, Daman Albarn, leader de Blur, éternel rival des frères Gallagher, qui eux-mêmes se sont souvent frictionné les atomes dans leur propre groupe, et Paul Simonon, le bassiste qui illumine la pochette de London Calling, l'auteur compositeur inspiré de Guns of Brixton. Intrigué, alléché par le souvenir de Jack White naviguant à vue des White Stripes aux Raconteurs, je me suis rapidement mis en quête d'un disque de TGTBTQ. C'est facile, il n'y en a que deux. The Good, the bad, etc. en 2007 et Merrie Land en 2018. Ayant acquis le premier, je sors le CD de son boîtier représentant la Place Rouge en feu et le glisse dans le tiroir. Ça commence bien, par le premier morceau, rien à dire. Mais dès l'intro de 80's Life, je sursaute. Un piano à la Ob-la-di Ob-la-da... des vocaux Johnny Chaussettes (noires) Platters... c'est pas grave, ça va passer. Le #3, Northern Whale, sera le couronnement de la Reine. Dans mes rêves ! La mélodie emprunte (beaucoup) à As tears go by. Aïe, ma cervelle est sous influence, j'ai perdu mon libre arbitre. #4 Kingdom of Doom murmure Tainted Love. Après, j'ai perdu le fil. Dans une oreille, Sting... dans l'autre le manège enchanté de Golden Brown. J'ai attendu calmement la fin et j'ai bien fait. Le dernier titre, The Good, the Bad and the Queen, tient toutes ses promesses. Je vais essayer de lire le CD à l'envers, pour voir.

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