samedi 23 février 2019

J'adore Bruno Ganz. Le fait qu'il ait déserté la caverne du réel ne me fera pas utiliser l'imparfait pour parler de lui. Pour évoquer des temps qui semblent anciens mais qui ne le sont pas, il fut un Jonathan hallucinant (ciné?) dans L'ami américain, un marin mystérieux Dans la ville blanche, un führer ébouriffant dans La chute. Dernière chose, pourquoi donc avoir traduit Der himmel über Berlin par Les ailes du désir ? Le titre allemand était parfait.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire