vendredi 17 avril 2015

il y a des soirs où l'heure tardive du programme vous met le cervelet au court-bouillon... on barbote dans une eau trouble, entre gag et réalité... vertige de l'humour, nausée de l'oreille interne... jean-louis murat dégoise sur un ton las... il adorait les rolling stones, otis redding aussi, et plus encore depuis qu'il est mort... la chanson qui le fait pleurer est et si tu n'existais pas de joe dassin... il pousse la détestation des beatles jusqu'à dire que paul mccartney est le jacques chirac de la chanson... deuxième degré, private joke, blasitude ?... non, il a l'air si sérieux... c'est un peu comme traiter van gogh de mystificateur... beethoven de symphoniste pour handicapés... kubrick de spécialiste des effets spatiaux...

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