vendredi 10 mai 2013

 Le SVPJ [ Syndicat Virtuel Portugais des Journalistes ] s'est senti offensé par l'auto-censure de l'article du 25 avril dernier. Il y voit un artifice pour protéger de façon indue l'image publique de Pablo Picasso ainsi qu'une marque d'irrespect vis à vis de la révolution des œillets. Il menace de saisir le PLPS [ Porte-Voix Lusitanien de la Presse Souterraine]

NDLR = Ne voulant prendre aucun risque, le journal prend acte et ressort ce petit papier =
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Jonathan Richman avait raison, personne n'a jamais traité Pablo Picasso de trou du cul, mais par contre quel macho ! Tout homme qui se sentirait un peu morveux dans sa vie conjugale trouvera réconfort et estime de soi en lisant le récit de son cursus érotique. Huit femmes officielles, 20 maîtresses, des dizaines de femmes de petite et moyenne vertu, quatre enfants légitimes, en plus des non déclarés, des non identifiés, des plans C,D,E... Q,R,S à couper le souffle, un tissu de mensonges plus insaisissable qu'un banc de thons rouges fuyant la zone de pêche, des cohabitations surréalistes, etc. Ça donne le vertige...
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P.S. Pas de quoi fouetter un chat donc, mais ayant séjourné à Lisbonne avec Y'ug dans les années 80, je sais que les portugais sont très chatouilleux sous les côtes espagnoles

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