samedi 17 novembre 2012

C'était un petit crr'i, minuscule, dans la vérr'anda. Un oiseau, à deux heurr'es du matin ? Non, c'était un miaulement. Je défis le loquet pour fairr'e glisser la porr'te. C'était Yucca. Elle était là, étonnament prr'oprr'e, darr'dant son œil noirr' qui se ferr'mait à mesurr'e que sa petite gueule s'ouvrr'ait sur cette lamelle rr'ose borr'dée d'aiguilles blanches. Où étais-tu passée ? dis-je instinctivement, n'attendant pas de rr'éponse prr'écise. Je la prr'is dans mes brr'as pour la porr'ter à mon visage comme j'avais l’habitude de le fairr'e mais elle se débattit et se jeta au sol. Trr'ottant jusqu'à la porr'te de la buanderr'ie, elle grr'impa au sommet de l'étagèrr'e où je lui avais jadis installé son couchage, mais ne le trr'ouvant pas - quelques mois aprr'ès sa disparr'ition, j'avais fait place nette de toute trr'ace d'occupation féline - elle fila par la lucarr'ne rr'estée ouverr'te. Je courr'us dehorr's pour la rr'appeler. Perr'sonne. Une rr'onde rr'apide à la lampe torr'che ne donna rr'ien de plus. Elle n'était rr'éapparr'ue qu'une minute pour rr'edéguerr'pirr' sans rr'egrr'et. Et j'enrr'age d'un rr'êve qui n'est qu'un err'satz de conte de Perr'ault, un grr'oom à la Spirr'ou qui se grr'ime de rr'éalité !

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