jeudi 28 février 2013
mardi 26 février 2013
FRAGMENTS D'UN MANIFESTE CANIN (15)
« Cet homme te parle comme à un chien » me faisait remarquer l'autre jour mon ami Bedwho qui s'étonnait du ton employé à mon égard. « Mais je suis un chien » répondis-je laconiquement. « Ah oui c'est vrai, j'oubliais ». Certains ne font pas vraiment la différence entre chien parlant et humain du rang. « Si tu veux mon sentiment, Owen, rien ne justifie que l'on utilise ce ton pour s'adresser à qui que ce soit » ajouta-t-il. Bedwho est la seule personne à m'appeler couramment par mon deuxième prénom. Je me tus, ne voulant pas pas entamer une discussion avec lui, sachant qu'il est très remonté sur ce sujet. À la réflexion, j'eus tort, le plus grand des mutismes étant de parler. Cette phrase me revient parfois en tête. Peut-on extrapoler ? Le plus grand immobilisme consisterait-il à marcher ?
dimanche 24 février 2013
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EN CAS DE
SYNDROME GRIPPAL =
DEMANDEZ À VOTRE PHARMACIEN
http://grooveshark.
com/s/Geno/3xBMXa?src=5
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DEXYS MIDNIGHT RUNNERS 80mg
BOÎTE DE 20 COMPRIMÉS
PELLICULÉS
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samedi 23 février 2013
vendredi 22 février 2013
jeudi 21 février 2013
E.G.S.E.C.
ETS GOLDMAN SENIOR ET CHIOT
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ETS GOLDMAN SENIOR ET CHIOT
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ÉQUARRISSEURS DE LETTRES DEPUIS 1973
ALPHABET ROMAIN ET TOUS AUTRES TYPES
DE CARACTÈRES
ARABE, ARMÉNIEN, BRAILLE, COPTE
CYRILLIQUE, ESPÉRANTO, GREC
GÉORGIEN, HÉBREU, MORSE
PHONÉTIQUE, RUNIQUE
+
JAPONAIS, THAÏ ET TIFINAGH
SUR DEVIS 24H MAXIMUM
=
À L’UNITÉ OU EN NOMBRE
FACILITÉS DE PAIEMENT
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DE CARACTÈRES
ARABE, ARMÉNIEN, BRAILLE, COPTE
CYRILLIQUE, ESPÉRANTO, GREC
GÉORGIEN, HÉBREU, MORSE
PHONÉTIQUE, RUNIQUE
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JAPONAIS, THAÏ ET TIFINAGH
SUR DEVIS 24H MAXIMUM
=
À L’UNITÉ OU EN NOMBRE
FACILITÉS DE PAIEMENT
mercredi 20 février 2013
mardi 19 février 2013
Extrait d'une interview de William Friedkin donnée au magazine PREMIÈRE en 2008 à l'occasion de la nouvelle sortie de son film French Connection en version numérisée :
Q : À partir de quand une version doit-elle être considérée comme définitive ?
R : Je vais vous raconter une histoire à propos de Pierre Bonnard, le peintre post- impressionniste. L'une de ses toiles était exposée au Louvre de son vivant. Un jour, il est arrivé avec une palette et un pinceau et a commencé à la repeindre. Il a été immédiatement arrêté par les gardiens, qui lui ont dit : « Monsieur Bonnard, la toile est au Louvre, elle est finie ». En vérité, je crois que tout artiste, qu'il soit peintre, romancier ou cinéaste, est prêt à revenir sur son travail pour le compléter ou le modifier.
dimanche 17 février 2013
un poil de zizou dans l'œil de materazzi
achète vincent van g, vends ludwig van b
boucherie canine sanzot, sos chats échaudés
paul a écrit blackbird, je nourrirai quinze merles
formation littéraire, équarrisseur de lettres meaux
ernesto ministre de l’asthme, suivez l'étoile du béret
ernesto ministre de l’asthme, suivez l'étoile du béret
jérôme lindon a découvert beckett, j'aime vincent lindon
gimme shelter and i'm set free, à l'abri dans le souterrain ~)(~
samedi 16 février 2013
vendredi 15 février 2013
mercredi 13 février 2013
BRÈVES ÉCONOMIQUES
LA COUR DES COMPTES POINTE DU DOIGT LES SUBVENTIONS ACCORDÉES PAR L’ÉTAT AUX BURALISTES POUR COMPENSER LE MANQUE À GAGNER INDUIT PAR L'AUGMENTATION DU PRIX DU TABAC, QUI A PROVOQUÉ UNE PERTE SIGNIFICATIVE DE CLIENTÈLE. MAIS DE QUOI SE MÊLENT-ILS ? CETTE PROFESSION MÉRITANTE EST DUREMENT TOUCHÉE PAR LA CRISE. SON REVENU MOYEN N'A PROGRESSÉ QUE DE 50% EN DIX ANS ET SEULE LA PUDEUR EMPÊCHE CES BELLES PERSONNES DE S’ÉPANCHER POUR NOUS FAIRE PARTAGER LEUR SOUFFRANCE. LE FERMOIR S'ASSOCIE À LEUR COMBAT, AINSI QU'À CELUI DES CHAUFFEURS DE TAXI ET DES GOLDEN BAD BOYS. UNE PÉTITION DE SOUTIEN EST DISPONIBLE AU JOURNAL. VOUS POUVEZ VOUS Y ASSOCIER EN APPOSANT VOTRE SIGNATURE ÉLECTRONIQUE ICI
MERCI POUR EUX ! VOTRE DÉVOUÉE, LA DIRECTION.
MERCI POUR EUX ! VOTRE DÉVOUÉE, LA DIRECTION.
LE RASÉ DE LOIN VOUS SALUE BIEN (2)
Une minute trente de plaisir pour un film de près de deux heures, c'est très peu me direz-vous. Non. C'est parfait. Exactement comme le livre de Claude Pélieu "Tatouages mentholés et cartouches d'aube", collection 10/18, n°790*. Le titre est un flash poétique absolu, qui ne réclame aucun développement, la maquette de couverture une réussite totale avec la photo de l'auteur en cigarette et barbelés surmontant le logo de l'éditeur en fuchsia et jaune moutarde. Surtout ne pas ouvrir la première page, ne pas lire le premier mot, ce serait perdre le moment de grâce procuré par la couverture. Non, il faut passer directement à la dernière page. Achevé d'imprimer le 29 juin 1973 sur les presses de l'imprimerie Bussière, Saint-Amand (Cher). Tout est dit. Concernant Monsieur Jean-Luc, attendons maintenant la prochaine occasion, une soirée d'été où Arte proposera à l'insomniaque qui sommeille en chacun de nous un autre opus du rasé de loin aux lunettes noires. C'est pas ce qui manque. En tête de gondole du supermarché godardien : À bout de souffle, Alphaville, La chinoise, Vivre sa vie, Week-end ou bien dans un recoin de sa petite épicerie de quartier, au choix : Masculin féminin, Bande à part, Les carabi-niers, Le petit soldat, etc. Après quoi on n'aura plus faim, moins soif, et si la vie n'est pas encore vraiment belle, elle refoulera un peu moins du goulot.
Une minute trente de plaisir pour un film de près de deux heures, c'est très peu me direz-vous. Non. C'est parfait. Exactement comme le livre de Claude Pélieu "Tatouages mentholés et cartouches d'aube", collection 10/18, n°790*. Le titre est un flash poétique absolu, qui ne réclame aucun développement, la maquette de couverture une réussite totale avec la photo de l'auteur en cigarette et barbelés surmontant le logo de l'éditeur en fuchsia et jaune moutarde. Surtout ne pas ouvrir la première page, ne pas lire le premier mot, ce serait perdre le moment de grâce procuré par la couverture. Non, il faut passer directement à la dernière page. Achevé d'imprimer le 29 juin 1973 sur les presses de l'imprimerie Bussière, Saint-Amand (Cher). Tout est dit. Concernant Monsieur Jean-Luc, attendons maintenant la prochaine occasion, une soirée d'été où Arte proposera à l'insomniaque qui sommeille en chacun de nous un autre opus du rasé de loin aux lunettes noires. C'est pas ce qui manque. En tête de gondole du supermarché godardien : À bout de souffle, Alphaville, La chinoise, Vivre sa vie, Week-end ou bien dans un recoin de sa petite épicerie de quartier, au choix : Masculin féminin, Bande à part, Les carabi-niers, Le petit soldat, etc. Après quoi on n'aura plus faim, moins soif, et si la vie n'est pas encore vraiment belle, elle refoulera un peu moins du goulot.
* voir notre édition du 4 juillet 2011
mardi 12 février 2013
LE RASÉ DE LOIN VOUS SALUE BIEN (1)
Pierrot le Fou, ou Jean-Luc l'Illuminé ? Le film mythique du petit maître de la nouvelle vague apparaît aujourd'hui comme un manuscrit plein d'enluminures d'un autre temps, pourtant pas si lointain. Les aventures de Ferdinand dans le sud de la France plongent le spectateur du vingt-et-unième siècle dans un monde où les dialogues ne renvoient à aucune réalité, ce qui est une bonne chose, mais à aucun rêve non plus, ce qui est plus gênant. On s'attend à être emporté dans un maelström "à la Fellini" et on se retrouve immobilisé à mi-chemin entre manifeste anarchiste et comédie de boulevard. J’exagère un peu, mais la déception est grande, amplifiée par cet élan du cœur qui anime tout cinéphile godardien. Il n'en reste pas moins que le début et la fin sont magnifiques. Le générique qui précède la première image filmée est une trouvaille visuelle qui fait de JLG le plus grand artiste pop du cinéma français, le temps d'une minute seulement, mais une minute de génie. Sur l'écran noir s’allument les A , les B, les C et les D rouges, puis les E bleus avant le bouquet final des M , des N, des O, rouges à nouveau, équarris sur le rouleau de la pellicule argentique. Et puis il y a le travelling final sur la ligne d'horizon et la mer, trente secondes où la caméra glisse vers la droite pour se figer sur le soleil en coin. Rien à ajouter, pas même un vers de Rimbaud, car le génie du petit suisse réside dans le choc de l'image et non dans le pavé de la citation.
Pierrot le Fou, ou Jean-Luc l'Illuminé ? Le film mythique du petit maître de la nouvelle vague apparaît aujourd'hui comme un manuscrit plein d'enluminures d'un autre temps, pourtant pas si lointain. Les aventures de Ferdinand dans le sud de la France plongent le spectateur du vingt-et-unième siècle dans un monde où les dialogues ne renvoient à aucune réalité, ce qui est une bonne chose, mais à aucun rêve non plus, ce qui est plus gênant. On s'attend à être emporté dans un maelström "à la Fellini" et on se retrouve immobilisé à mi-chemin entre manifeste anarchiste et comédie de boulevard. J’exagère un peu, mais la déception est grande, amplifiée par cet élan du cœur qui anime tout cinéphile godardien. Il n'en reste pas moins que le début et la fin sont magnifiques. Le générique qui précède la première image filmée est une trouvaille visuelle qui fait de JLG le plus grand artiste pop du cinéma français, le temps d'une minute seulement, mais une minute de génie. Sur l'écran noir s’allument les A , les B, les C et les D rouges, puis les E bleus avant le bouquet final des M , des N, des O, rouges à nouveau, équarris sur le rouleau de la pellicule argentique. Et puis il y a le travelling final sur la ligne d'horizon et la mer, trente secondes où la caméra glisse vers la droite pour se figer sur le soleil en coin. Rien à ajouter, pas même un vers de Rimbaud, car le génie du petit suisse réside dans le choc de l'image et non dans le pavé de la citation.
( suite et fin demain )
lundi 11 février 2013
Dogs part two par The Who est la signature sonore du journal. Une décision du bur- eau lui a conféré ce statut [ voir nos éditions du 28 juin 2012 et du 8 septembre 2011 ]. Indépendamment de ce rôle hono- rifique, particuliè- rement cher au pigiste qui milite pour la condition canine, c'est un must qui ne donne pas sa part aux chiens. Jugez vous-même !
Dogs+Part+Two/4bgmJm?src=5
dimanche 10 février 2013
L'intro ? C'est la marque de fabrique du rock : un beat, deux gimmicks, trois accords, quatre mots jetés en pâture et c'est parti !
Par ordre d'apparition à l'écran :
Surfin' bird / The Trashmen
Psycho daisies / The Yardbirds
Jumping jack flash / The Rolling Stones
High flying baby / The Flamin' Groovies
Black dog / Led Zeppelin
I fought the law / Clash
Rewind / Big Audio Dynamite
Burning man / Third Eye Blind
Red+Rain/2GJSwN?src=5
vendredi 8 février 2013
l'autre petit blond était un grand blond ; mick abrahams officiait dans un groupe au nom étrange, jethro tull, doté d'un chanteur flûtiste à la barbe fleurie, unijambiste au pantalon rentré dans les bottes, d'un bassiste en chapeau melon et d'un batteur "à la keith moon" ; tout comme son leader anderson, mick portait beau avec son manteau de l'armée du salut et son rideau capillaire frisé old fashioned ; à peine leur premier disque gravé, le succès leur tend les bras avec un hit insulaire, voire continental, a song for jeffrey, et une invitation au rock and roll circus organisé par le groupe de brian jones et charlie watts ; mais mick avait plus du clochard céleste que du guitar hero et le 11 décembre 68 il avait déjà mis les voiles ; c'est tony iommi qui le remplace au pied levé pour le show télévisuel des rolling stones ; tous les invités jouent live, sauf marianne faithfull - pas de sièges pour les violons dans les studios de wembley - et jethro tull - motif non communiqué - c'est donc iommi qu'on voit à l'image, mais c'est bien la gibson d'abrahams que vous entendez ; après cet envol manqué, mick prendra un tramway nommé blodwyn pig, avec un très bon disque à la clé et à la tête de cochon, puis "a musical evening" avec ritchie dharma aux tambours ; la photo de la pochette me fait penser illico à mon ami guy, un détail pas si anodin que ça
http://grooveshark.com/s/
Dharma+For+One/4vaj1g?src=5
http://grooveshark.com/s/
Cat+
jeudi 7 février 2013
vers 1968, dans le vivier des guitaristes anglais, mon ouïe avait été titillée par le jeu aérien et lyrique de deux petits blonds, deux petits micks ; le premier s'appelait taylor, un virtuose au visage d'angelot qui avait trouvé un cdd dans les casseurs de blues de john mayall ; le vieux john qui avait déjà passé la trentaine a très vite su qu'il avait mis la main sur une pépite et voulait absolument le garder plus longtemps que les deux précédents, eric clapton et peter greenbaum ; il faisait donc le tour des clubs de blues du royaume- uni, mais pas de grandes salles ni de lieux branchés afin d'éviter que les british musicians et autres requins du rock business uk ne lui fasse miroiter un job plus en rapport avec son talent ; il avait vu juste pour les tournées, peu de gens le virent en action, par contre il a commis une erreur, ou plutôt trois, three long playings ; si crusade en 67 ne l'a pas poussé dans la lumière, les deux albums suivants parus en 68 ont mis le spot sur jon hiseman, chris mercer, steve thompson et little mick taylor ; et les coups de fils de se multiplier "allo john, tu vas bien ? tu peux me passer mick" "hi john, are you alright, is mick around ?" etc, etc ; et en juin 69 "hey john, it's mick jagger, i want to tell you about mick" ; on connait la suite ; la suite ? quelle suite ?? ah le deuxième petit blond ! demain !
2401/3q9GFq?src=5
lundi 4 février 2013
Feschieying touz azimuts :
CAF#duck1.dbrack.ac
Aprés les derniers calculs annuels de l'exercice de votre activité, nous
avons déterminé que vous étes à demi cible a recevoir un remboursement
d'impot de € 217,50.
S'il vous plait soumettre la demande de remboursement d'impot et nous
permettre de 2 jours ouvrables pour le traitement
Pour accéder au formulaire pour votre remboursement d'impot : clicqer ici
. N.B; ne trouver rien d'anormal dans cette démarch', nous ne voullons queu
votre bien,
signé : L'equipe Dbrack.AC
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Trivial Pure Shit
Réponse au jeu de samedi = D
Ringo était parti aux toilettes, qui étaient juste à coté de son box. Paul ne s'en était pas aperçu et avait entamé la prise qui fut retenue finalement pour le single. N'entendant pas le moindre son sortir du kit du modeste, il tourna la tête et vit Ringo regagner subrepticement son poste de travail et prendre le train en marche à la fin du deuxième couplet, raccord comme jamais. George avait raison, little drummer boy was a big one !..
Réponse au jeu de samedi = D
Ringo était parti aux toilettes, qui étaient juste à coté de son box. Paul ne s'en était pas aperçu et avait entamé la prise qui fut retenue finalement pour le single. N'entendant pas le moindre son sortir du kit du modeste, il tourna la tête et vit Ringo regagner subrepticement son poste de travail et prendre le train en marche à la fin du deuxième couplet, raccord comme jamais. George avait raison, little drummer boy was a big one !..
samedi 2 février 2013
Trivial Pure Shit (2)
Deuxième question MUSIQUE :
Le 30 juillet 1968, les Beatles enregistrent Hey Jude dans les studios EMI d'Abbey Road. Un mois plus tard sort le single Apple R 5722 UK [ face B = Revolution ]. La chanson dure un peu plus de sept minutes, mais près de 50 secondes s'écoulent avant qu'on entende le son de la batterie de Ringo. POURQUOI ?
Deuxième question MUSIQUE :
Le 30 juillet 1968, les Beatles enregistrent Hey Jude dans les studios EMI d'Abbey Road. Un mois plus tard sort le single Apple R 5722 UK [ face B = Revolution ]. La chanson dure un peu plus de sept minutes, mais près de 50 secondes s'écoulent avant qu'on entende le son de la batterie de Ringo. POURQUOI ?
A) Ringo avait des ampoules
B) il avait perdu une baguette
C) il faisait la tête
D) il était aux toilettes
Réponse lundi 4 à midi
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